La Fnac fête ses 70 ans d'agitation culturelle en sortant deux ouvrages
Depuis 70 ans, la Fnac reste fidèle à son rôle d'agitateur culturel à travers la musique et le cinéma. Tout en s'adaptant aux révolutions technologiques et sociales, elle célèbre cette riche histoire en restant tournée vers l'avenir avec la sortie de deux ouvrages au format vinyle, disponibles en magasin et sur Fnac.com.
Je m'abonneLe slogan « Libérons la culture » résume parfaitement la vision des deux créateurs de la Fnac à Paris, Max Théret et André Essel, en 1954. Avec l'idée d'offrir un accès large à la culture pour favoriser l'émancipation, la Fnac a traversé 70 ans de révolutions musicales : des fifties marquées par le jazz, aux sixties du rock en passant par le punk et la disco des seventies et des eighties. Dans les nineties, le rap domine et, au XXIe siècle, le retour du vinyle symbolise la coexistence entre numérique et supports physiques.
Aussi pour fêter ses 70 ans, la Fnac lance deux ouvrages exclusifs au format vinyle sur la musique et le cinéma. Les clients y retrouveront en exclusivité un flexi bleu de -M-, "L'amour, ma thématique", ainsi que des interviews inédites d'Albert Dupontel, -M- et Bernard Lavilliers.
Musique et cinéma, les deux piliers de la Fnac
Le cinéma a aussi été un pilier pour la Fnac. En 1954, l'année de sa fondation, des films cultes comme Fenêtre sur cour d'Alfred Hitchcock et VeraCruz marquent l'époque, tout comme les stars émergentes Marlon Brando et Marilyn Monroe. Puis viennent la Nouvelle Vague des années 1960, le Nouvel Hollywood des années 1970, et l'essor des blockbusters dans les années 1980. À partir des années 1990, le cinéma alternatif et le féminisme gagnent les écrans, accompagnés de grandes avancées technologiques comme l'arrivée du DVD et du home cinéma. À travers ces 70 ans de musique et de cinéma, la Fnac a su rester fidèle à son rôle d'agitateur culturel. En s'adaptant aux révolutions technologiques et sociales, elle célèbre cette histoire riche tout en restant tournée vers l'avenir.
« La FNAC, ce sont des heures de lecture coincé dans les rayons sous le regard tolérant des employés souvent surqualifiés et qui, gentiment, guidaient mes lectures... », Albert Dupontel. « Sur un plan plus personnel, je sais que mon histoire de musicien ne serait sans doute pas la même sans la FNAC », Bernard Lavilliers.