Le moteur de recherche a accepté de retirer des liens vers certains sites.
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C’est au prix d’un sacrifice discutable que Google se lance cette semaine en Chine. Le moteur de recherche américain a en effet consenti à censurer certains sites et contenus interdits par les autorités de Pékin. Google rejoint ainsi Microsoft et Yahoo, les deux autres moteurs déjà installés en Chine. Le groupe se défend des critiques en affirmant que “si le retrait de résultats de recherches est contraire à la mission de Google, ne pas fournir d'information est davantage contraire à notre mission”. Pour ne citer que quelques exemples, des recherches sur Google.cn incluant les mots “indépendance de Taiwan” ou “droits de l'homme” aboutissent à des sites reprenant la position du gouvernement chinois.
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