Internet : promesses et limites du on line
Réputé peu onéreux, du moins si l'on ne considère que le ticket d'entrée en achat d'espace, reconnu comme très réactif et d'une grande souplesse, Internet ne semble pas pour autant avoir convaincu les annonceurs en marketing direct. Peut-être faut-il en trouver la raison dans un potentiel limité en termes de traçabilité.
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« Internet est encore beaucoup trop cher. C'est un média pour l'instant largement surévalué. » Luc Camberlein, directeur marketing opérationnel d'Abbey National, ne fait ici que traduire un sentiment partagé par nombre d'annonceurs ou de médiaplanneurs au sein des agences. Mais, si Internet demeure un média autour duquel les entreprises françaises font preuve d'une certaine réserve, il intéresse de façon évidente un certain nombre de sociétés, conscientes des besoins qui devraient très bientôt se faire
