[Tribune] Intensité concurrentielle et océan bleu
Dans une période d'incertitude, où couve une crise économique, les entreprises et leurs équipes marketing sont invitées à réajuster leur stratégie. L'économie de la distanciation a changé les règles du jeu et permet l'émergence d'une nouvelle concurrence, souvent disruptive dans ses approches.
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Rendue célèbre par les cinq forces de Michaël Porter, l'intensité concurrentielle peut être définie tantôt comme l'échange de mouvements (Porter), tantôt le degré d'agressivité et de rapidité des actions et des ripostes engagées par les entreprises pour se concurrencer sur un marché (Chen), ou encore le nombre d'entreprises qui sont en concurrence sur le marché et l'âpreté de la compétition qu'elles se livrent sur ce marché (Muller). L'intensité concurrentielle peut donc être résumée au degré de lutte que se livrent des concurrents sur un marché : le nombre d'actions, de ripostes, le degré d'agressivité offensive, de rapidité de ces actions sur ce marché. Avec la numérisation du nombre de services, l'émergence du modèle SaaS, les risques et les opportunités sont nombreux.
L'intensité concurrentielle : raison d'être du marketeur ?
Face à la concurrence, toujours plus présente, le directeur marketing est toujours en proie à de multiples dilemmes : faut-il accentuer

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