[Tribune] Influence Marketing : en finir avec la course aux likes
Faut-il continuer à se baser sur la taille d'une communauté, le taux d'engagement ou les likes cumulés par un influenceur pour décider de travailler avec lui ou pour juger de la qualité d'une opération ? Non pour Guillaume Doki-Thonon, CEO & co-fondateur de Reech, qui milite pour de nouveaux KPIs.
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Au début de l'Influence Marketing, et pour évaluer la qualité d'une campagne, on regardait : au pire rien, au mieux la taille de communauté de l'influenceur. Placer le taux d'engagement au coeur des KPIs de l'Influence Marketing était donc une étape nécessaire au moment où trop souvent, seule la taille de l'audience était scrutée. Aujourd'hui, les agences et les marques sont entrées dans une course aux likes pour valoriser le succès de leurs campagnes. On se félicite d'un contenu qui génère énormément de likes et de commentaires, et on est souvent déçus d'un post qui en produit moins. Mais est-ce qu'on n'oublie pas le plus important ? En effet, quid de la marque dans ce contenu ? Les likes ont-ils été générés par affinité avec l'influenceur ou pour l'intérêt du contenu du post ?
Pour faire beaucoup de likes, l'influenceur se met en scène et son contenu éclipse parfois le message ou le produit de la marque. La course aux likes risque donc de se faire au détriment de l'annonceur. A contrario, un post qui met bien en avant le produit risque d'avoir peu de likes. Mais n'entraîne-t-il pas une meilleure

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