[La Créa de la semaine] « Difficile de trouver mieux ailleurs », nouvelle campagne de BoursoBank

Insight

La filiale du groupe Société Générale (banque en ligne, le courtage en ligne et l'information financière sur Internet) est positionnée depuis 16 ans comme étant la banque en ligne la moins chère du marché. Elle souhaite cependant élargir sa communication à d'autres avantages et services.

Dispositif

L'agence Buzzman qui a déjà signé la nouvelle campagne de BoursoBank (ex-Boursorama) sur la recommandation fin avril dernier - « La banque qu'on a envie de se recommander » - poursuit la prise de parole de la marque avec une campagne plurimédia, de nouveau orchestrée par iProspect. En 2024, BoursoBank est de nouveau classée banque la moins chère. Mais pour cet acteur 100% en ligne, être la banque la moins chère sur la banque au quotidien, ce n'est pas seulement permettre de faire des économies sur ses frais bancaires ; c'est aussi offrir des tarifs compétitifs sur beaucoup d'autres produits et services de sa gamme. Et BoursoBank compte bien le faire savoir, à travers un dispositif tactique étonnant. Buzzman a imaginé une campagne ingénieuse qui joue sur les formats de façon inédite avec un message simple : difficile de trouver mieux ailleurs, sauf dans la prochaine pub... qui est aussi une pub BoursoBank. En OOH, c'est l'affiche d'à côté ou d'en face qui lui répond. En VOL, c'est le film d'après. En radio, c'est la chanson suivante. Parce qu'il n'y a que BoursoBank qui peut concurrencer BoursoBank.

Objectifs visés

Mettre en scène de nouveaux services et produits bancaires.

L'avis de Thibault Picot et Yvonnick Le Bruchec, directeurs artistiques et concepteurs-rédacteurs chez Buzzman

« Cette année, BoursoBank souhaitait pousser d'autres preuves dans sa communication (carte ultime gratuite, services de corner, frais bancaires peu chers...) mais c'est compliqué de diffuser autant de messages sur une affiche. C'est pourquoi nous avons privilégier ce concept qui nous permet de répartir les preuves dans plusieurs formats (affichage, films de 30 secondes...). Les trois scènes artificielles (salle de sport, bureau, ski) sont très théâtrales, filmées en plan large où toute l'action rentre dans le cadre, sans être découpée. On se moque un peu des codes publicitaires. On commence avec une scène qui est une preuve simple et on joue la gradation, l'amplification avec un peu plus d'intensité à chaque film suivant. Hugues de la Brosse signe une réalisation élégante avec un ton burlesque, absurde, à l'anglo-saxonne. Une saga est envisagée avec de nouvelles productions. »