Recherche

Plus de 6000 références de produits "Paris 2024" commercialisées en France

À l'approche des Jeux olympiques et paralympiques, Paris 2024 déploie ses dernières cartes pour réaliser son objectif de 120 millions d'euros de revenus issus des produits dérivés sous licence : ouverture d'un flagship fin juin à Paris et de 150 points de vente sur les sites de compétition, campagne de com'... Explications d'Édouard Bardon, directeur licences & retail de Paris 2024.

Publié par Floriane Salgues le - mis à jour à
Lecture
5 min
  • Imprimer
Plus de 6000 références de produits 'Paris 2024' commercialisées en France

Des macarons Ladurée (mangue cardamome et citron vert gingembre), un carnet Moleskine, un stylo BIC, un short Carrefour, un sac à dos ou une banane Cabaïa, un sac en tissu Decathlon ou, encore, un couteau de poche Le Coq Français... Ce ne sont pas moins de 6000 références de produits sous licence avec Paris 2024 - aux couleurs des Jeux olympiques et paralympiques - qui sont d'ores et déjà commercialisées en France, partage Édouard Bardon, directeur licences & retail de Paris 2024, à l'occasion d'une conférence de presse le 19 juin. Un chiffre qui devrait être porté à 8000 d'ici au démarrage de la compétition sportive, le 26 juillet. "Nous arrivons à la fin du développement de notre offre de produits officiels sous licence, réalisé en très peu de temps puisque nous avons démarré le programme en 2019. L'un des objectifs majeurs était de révéler le savoir-faire français... et c'est le cas : nous avons embarqué 80 acteurs, dont 90 % de TPE françaises, précise-t-il. Les best-sellers ? Les "phryges", les mascottes des Jeux olympiques et paralympiques de Paris, mais, aussi, les stylos ou les gourdes Paris 2024...

Un sourcing produits qui tente donc de faire la part belle au made in France, mais, aussi, aux enjeux environnementaux. "Nous avons notamment souhaité réduire l'empreinte carbone des produits avec une diminution des emballages, mais également par l'utilisation des matériaux recyclables comme le polyester ou le coton biologique", explique Édouard Bardon. "L'après" a aussi été anticipé. "Nous avons travaillé à un programme de seconde vie et nous avons prévu une réutilisation du produit ou de la matière qui le compose, comme c'est le cas de Decathlon qui fabriquera

En acceptant les cookies, vous accédez aux contenus du site. Vous soutenez ainsi une rédaction de 14 journalistes et une centaine de contributeurs professionnels. Vous avez les possibilités suivantes :

Refuser et s’abonner Accepter les cookies

Vous êtes abonné(e) ?
Connectez-vous

Livres Blancs

Voir tous les livres blancs

Vos prochains événements

Voir tous les événements

Voir tous les événements

S'abonner
au magazine
Se connecter
Retour haut de page