La FDJ voit la vie en bleu-blanc-rouge
N'attendez pas de toucher le gros lot pour remercier la FDJ. Avec "Voir la France gagner", l'entreprise met en scène sa raison d'être au travers de ses multiples engagements
Pour vous, il n'y a que ceux qui voient tirer leurs numéros qui sont les gagnants de la FDJ ? Détrompez-vous ! C'est ce que veut nous faire voir le spécialiste du jeu d'argent et de hasard dans sa dernière prise de parole, "Voir la France gagner". "Cette campagne fait suite à la campagne "Origines" , en 2019, notre première prise de parole institutionnelle, dans laquelle nous revenions sur la création de la Loterie Nationale pour venir en aide aux "Gueules Cassées " de la Première Guerre mondiale", explique Nathalie Le Garlantezec, directrice de la Marque et de la Communication institutionnelle chez FDJ. Une initiative qui coïncidait avec la privatisation de l'entreprise, et devait vanter ses origines solidaires et son modèle d'intérêt général aux actionnaires. "Beaucoup de Français nous connaissent pour nos jeux, bien sûr, mais moins pour notre histoire et nos engagements. À l'été 2020, lors de la première assemblée générale faisant suite à la privatisation, nous avons fait voter notre raison d'être : le jeu est notre métier, la contribution à la société notre moteur et la responsabilité notre exigence."
D'où cette nouvelle prise de parole signée Havas Paris, qui doit illustrer cette raison d'être et montrer aux Français les nombreuses actions menées par la FDJ au service du pays. "Nous contribuons de diverses manières : la restauration du patrimoine, mais aussi le financement des infrastructures sportives par le biais d'une taxe sur les jeux. En 40 ans, nous avons apporté l'équivalent de six milliards d'euros pour leur construction et leur entretien, faisant ainsi vivre le sport pour tous. Il y a aussi nos actions de sponsoring auprès des équipes cyclistes, des fédérations et des clubs, et notre engagement en faveur de l'égalité des chances, pas seulement pour les joueurs, mais aussi pour ceux qui bénéficient de l'action de l 'une des 250 associations soutenues par notre Fondation, avec un budget de 18 millions d'euros sur cinq ans. Enfin, il y a nos 30 000 partenaires commerçants qui font vivre le commerce de proximité."
Une campagne de preuves
La campagne met ainsi en avant une sapeur-pompier qui, blessée dans l'exercice de son métier, a été accompagnée par l'Union des blessés de la face et de la tête, qui tire son financement de son actionnariat au sein de la FDJ. Il y a aussi ces travailleurs en réinsertion, qui oeuvrent sur le chantier du château de Rochefort, dans le Doubs, l'un des 500 monuments français dont la restauration est financée par les Jeux du patrimoine et qui "permettrade faire travailler des artisans et, ainsi, préserver des savoir-faire, mais également de créer de l'emploi dans le tourisme et la restauration."
La campagne TV, diffusée du 3 au 28 janvier pour "plusieurs centaines de GRP", est déclinée en un spot de 60 secondes et quatre autres spots " preuves " de 20 secondes. Elle a été complétée d'une campagne OOH et d'une campagne radio, "afin d'exploiter au mieux le slam accompagnant la copie TV, qui est un véhicule créatif très intéressant. Nous avons aussi fait une campagne dans la presse en mettant en avant de manière plus détaillée les preuves de nos actions, tout comme en affichage, où chaque engagement était accompagné d'une preuve chiffrée", précise Nathalie Le Garlantezec, qui suit l'impact de cette campagne sur l'image de marque de la FDJ, ainsi que la rétention de sa raison d'être et la bonne restitution de ces différents engagements.
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