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FranceTV Pub, Ouest France, M6, Canal... Les médias à la Une (31 octobre - 04 novembre)

Publié par Doriane Dos Santos le

Dans les médias à la Une cette semaine : M6 et Canal+ renouvellent leurs accords pluriannuels, Ouest-France abonne gratuitement les 18-25 ans, FranceTV Pub sera la régie publicitaire de Dreamworks...

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Télé 7 Jours dévoile sa nouvelle formule

Le 31 octobre, Télé 7 Jours a dévoilé sa nouvelle formule. Elle arbore une nouvelle charte graphique qui fait la part belle au programme télé, au divertissement, à la pop culture, mais aussi au lifestyle. Disponible en kiosque depuis lundi, cette nouvelle formule est déclinée en deux couvertures différentes et exclusives. C'est la chanteuse française Jenifer qui a accepté de poser pour ces couvertures, mais pas pour n'importe quelle raison : elle est l'artiste qui détient le record du plus grand nombre de couvertures dans l'histoire de Télé 7 Jours.

Cette nouvelle formule propose une nouvelle charte graphique qui permet de délimiter plus clairement les différentes parties du magazine : un cahier actu du divertissement et de la pop culture, un guide des programmes TV, et une partie lifestyle. Par ailleurs, plus de place sera accordée aux critiques des programmes des plateformes de streaming, et un calendrier hebdomadaire des sorties sur ces plateformes sera également proposer. Plus besoin de prendre le temps de chercher son programme de la soirée, un calendrier répertoriera toutes les sorties inédites.

Cette nouvelle formule marque une première étape du changement opéré par Télé 7 Jours qui va également retravailler son site internet, dont la nouvelle version sera proposée au printemps 2023. La nouvelle application mobile, quant à elle, sera disponible en septembre 2023 et permettra d'accéder à une nouvelle interface, de nouvelles rubriques et de nouvelles fonctionnalités.



Science & Vie annonce le lancement du "Prix du jeune journaliste scientifique"

Science & Vie a annoncé lancer son Prix du "jeune journaliste scientifique". Dévoilé dans le prochain magazine en kiosque, le Prix du jeune journaliste scientifique Science & Vie s'adresse à tout étudiant ou jeune diplômé en sciences et en journalisme scientifique.

Les candidatures sont ouvertes depuis le 26 octobre dernier et pour se démarquer, les candidats sont appelés à enquêter sur un sujet d'actualité scientifique, à écrire un article, et à l'adresser à la rédaction de Science & Vie d'ici le 31 janvier prochain.

À la clé : une dotation de 1 000 €, la parution de l'article gagnant dans le magazine Science & Vie daté juillet 2023, un accompagnement dans son parcours professionnel par la rédaction durant 1 an, la participation au Comité scientifique pluridisciplinaire du groupe Reworld Media, et l'invitation à figurer parmi les membres du jury lors de la 2ème édition du Prix.

Pour cette édition, le jury est composé de membres de la rédaction de Science & Vie, de chercheurs renommés et de professionnels de l'édition. Ils seront en charge d'élire la ou le jeune journaliste de l'année. La remise de la première édition du Prix aura lieu le 11 avril 2023.

Europe 2 dévoile sa nouvelle identité

Arnaud Lagardère et Constance Benqué (dirigeants du groupe Lagardère) annonçaient en juin dernier une nouvelle étape dans le projet de repositionnement de la marque Europe avec le retour en janvier 2023 de la radio Europe 2. Après accord de l'ARCOM, la station franchit aujourd'hui une nouvelle étape dans son déploiement en dévoilant son nouveau logo ; une nouvelle identité visuelle élaborée en collaboration avec les équipes de Rosa Paris.

D'après le groupe, « le nouveau logo d'Europe 2 reprend l'univers et les codes graphiques du spectre sonore. Il véhicule une onde dynamique et positive, dont la typographie épouse la courbe du spectre. Incarnation parfaite de l'image du son, de l'onde radio ».

La radio entend, sous la marque Europe 2, réaffirmer sa mission originelle : révéler de nouveaux talents, de nouvelles incarnations et de nouveaux formats auprès d'un public de jeunes adultes et d'adultes. La station s'appuiera sur des événements musicaux et des sessions live pour nourrir le lien entre les auditeurs, les publics et les artistes.

Pour Stéphane Bosc, Directeur général des radios musicales : « À quelques mois de son lancement officiel, nous sommes fiers de dévoiler la nouvelle identité visuelle d'Europe 2 qui marque une étape de plus dans notre projet. Ce nouvel univers, développé par les équipes de Rosa Paris, est la parfaite illustration de ce que sera Europe 2. »

Jean-Patrick Chiquiar, co-fondateur de Rosa Paris, explique que « Pour refondre l'identité du logo Europe 2, nous sommes repartis d'une feuille blanche, comme si nous lancions une nouvelle marque. Il ne s'agissait pas de faire évoluer le logo de Virgin Radio en logo Europe 2. Nous avons cherché des signifiants forts au média radio en créant un logo qui caractérise une onde sonore ; et nous l'avons ponctué du chiffre 2, écrit de façon manuscrite, comme si nous voulions affirmer une 2ème personnalité à la marque Europe.?? »

FranceTV Pub sera la régie publicitaire de Dreamworks

La semaine dernière, NBCUniversal International Networks et Direct-to-Consumer annonçait l'arrivée d'Universal+ en France, et l'accès à plusieurs chaînes, dont celle de Dreamworks.

La chaîne dédiée à toute la famille sera alors commercialisée par FranceTV Publicité. DreamWorks étoffe ainsi l'offre de FranceTV Publicité, aux côtés notamment des 3 chaînes de NBCUniversal International Networks and Direct-to-Consumer déjà commercialisées par la régie : 13ème Rue, Syfy et E!.

"La jeunesse est un des piliers majeurs de notre offre programmes FranceTV Publicité. Nous sommes particulièrement heureux et fiers d'étendre notre partenariat avec NBCUniversal. Ce nouvel accord permettra de concentrer chez FranceTV Publicité la commercialisation d'une offre jeunesse forte et cohérente et fera bénéficier le groupe NBCUniversal International Networks and Direct-to-Consumer de toute l'expertise de la régie sur cette thématique", déclare Marianne Siproudhis, Directrice générale de FranceTV Publicité.


M6 et Canal+ renouvellent leurs accords pluriannuels

Alors que le groupe TF1 ne parvient pas à trouver d'accord avec le groupe Canal, et que leur bataille continue, le groupe M6, quant à lui, parvient à renouveler ses accords pluriannuels.

En effet, le Groupe M6 et le Groupe Canal+ annoncent le renouvellement de leurs accords pluriannuels pour la distribution de l'ensemble des chaînes de la TNT gratuite (M6, W9, 6ter, Gulli), thématiques payantes (Paris Première, téva, M6 Music, Canal J, Tiji, RFM TV, MCM) et de leurs services et fonctionnalités associés ainsi que le service SVOD GulliMax auprès des abonnés Canal+.

Cet accord porte sur la poursuite de la distribution de l'ensemble des chaînes du Groupe M6, ainsi que les services non linéaires et fonctionnalités associés à ces chaînes au sein des offres de Canal+. Il permettra à l'ensemble des abonnés du Groupe Canal+ de continuer à profiter des services du Groupe M6 en linéaire et à la demande, de contenus enrichis (fenêtres de diffusion non linéaire étendues, avant-premières) et de fonctionnalités innovantes.



Ça M'intéresse sort un numéro spécial Green

Le numéro 501 de Ça M'intéresse est un numéro spécial green. Disponible en kiosque du 29 octobre au 24 novembre 2022, ce numéro proposera des solutions concrètes à ses lecteurs. Habitué des thématiques green, le magazine en est à sa quatrième édition, la première date de 2019.

La rédaction de Ça m'intéresse propose un dossier « Quand la nature nous inspire », 12 pages sur le biomimétisme, à l'intérieur desquelles les lecteurs pourront retrouver 30 innovations étonnantes : des panneaux solaires inspirés des tournesols, des antibiotiques issus des manchots, des cartes bancaires copiées sur les papillons...

Les journalistes du magazine s'interrogent et enquêtent également sur leur quotidien. A travers la thématique « Que valent les labels alimentaires ? », ils abordent les thématiques de l'alimentation et aident les lecteurs à se repérer dans les multiples indications rendues disponibles sur les emballages. La rédaction aborde également Le cancer en 10 idées reçues ; l'économie d'énergie ; les huit projets fous pour refroidir la terre ; les océans...

Dans ce numéro daté de novembre, le magazine qui peut satisfaire les plus curieux, traite également les langues régionales dans deux articles : « Nos langues régionales sont-elles en danger ? » et « De la Bretagne à Tahiti, que parle-t-on en France ? ». Tout un chacun devrait pouvoir trouver des thématiques qui lui corresponde, à l'ère où les questionnements sur la biodiversité, et l'environnement prennent une tournure urgente.

Ouest-France abonne gratuitement les 18-25 ans

Ouest-France a annoncé relancer son offre dédiée aux 18-25 ans, 100% gratuite pour accéder à tous les contenus numériques, dans leur intégralité.

La Pack numérique Ouest-France donne accès à l'ensemble des articles, vidéos et podcasts du site et de l'application Ouest France ; au journal en version numérique et à l'édition du soir, le e-magazine de 18H ; mais aussi à d'autres événements tels que des places pour des matchs de sport, des concerts ou des rencontres avec des artistes, depuis le site LaPlace.

Par ailleurs, les 18-25 ans qui souscriront à l'offre gratuite deviendront des « abonnés solidaires Ouest-France » puisqu'ils contribueront à soutenir financièrement les initiatives solidaire et environnementales du Grand Ouest via le dispositif Faire Demain, qui chaque mois, permet à la rédaction de soutenir des initiatives de proximité, et de les récompenser à hauteur de 1000 euros grâce aux votes des abonnés, qui sélectionneront leur projet préféré.

Les 18-25 peuvent ainsi rester au coeur de l'actualité, tout en soutenant les initiatives du groupe.

L'AFP prend part au projet d'une plateforme de lutte contre la désinformation

L'AFP a annoncé être membre d'une plateforme de lutte contre la désinformation en Allemagne et en Autriche. L'observatoire des médias numériques en Allemagne et en Autriche a été lancé le 1er novembre dernier, et représente le plus grand projet de collaboration entre équipes de fact-checkeurs et scientifiques dans l'espace germanophone.

Baptisé GADMO (German-Austrian Digital Media Observatory), il a pour objectif de lutter de manière coordonnée contre la désinformation, afin notamment de : rendre les articles de vérification des faits plus accessibles au public à travers leur publication sur un site internet ; identifier les campagnes de désinformation et les étudier scientifiquement ; promouvoir l'éducation aux médias en Autriche et en Allemagne.

Ce projet de collaboration a été sélectionné par la Commission européenne, qui co-finance le projet, et est basé sur une alliance entre organisations de lutte contre la désinformation actives en Allemagne et en Autriche : Agence France-Presse (AFP), Deutsche Presse-Agentur (dpa), Austria Presse Agentur (APA), et le réseau de recherche indépendant Correctiv ; des scientifiques de l'université TU Dortmund, qui coordonne le projet, et de l'institut autrichien de technologie AIT ; ainsi que l'entreprise grecque ATC chargée de tous les aspects techniques du projet.

« C'est une reconnaissance de la qualité de l'investigation numérique à l'AFP dans le monde entier, et plus particulièrement dans les pays germanophones », a déclaré Bronwen Roberts, adjointe au rédacteur en chef Europe de l'AFP, en charge de l'investigation numérique. « Nous sommes fiers de participer à ce projet, notamment parce que l'Allemagne a été identifiée comme l'une des principales cibles des campagnes de désinformation en Europe », a-t-elle ajouté.

Ce projet prévu pour une durée de 30 mois dispose d'une indépendance éditoriale totale et s'inscrit dans le réseau européen EDMO (Observatoire européen des médias numériques).

Le DSA (Digital Services Act) entre en vigueur, pour un internet plus sûr

L'Arcom a annoncé la publication au Journal officiel de l'UE, du règlement européen sur les services numériques (DSA). Il entrera en vigueur mi-novembre et sera applicable dès 2023 aux très grandes plateformes et très grands moteurs de recherche.

Ce texte permet à l'UE de se doter d'un cadre réglementaire novateur qui répond aux risques soulevés par les plateformes en ligne en matière de protection des publics et de stabilité des sociétés démocratiques, mais aussi de liberté d'expression.

Pour répondre à leurs nouvelles obligations, les plateformes devront mettre en oeuvre tous les moyens nécessaires à la construction d'un internet plus sûr et agir avec responsabilité et transparence, notamment en ouvrant plus largement l'accès à leurs données, sous peine de sanctions financières dissuasives. Le DSA impose également de nouvelles obligations aux places de marchés en ligne et renforce ainsi la protection des consommateurs.

« L'Arcom, forte de sa connaissance de ces problématiques et du dialogue concret engagé depuis plusieurs années avec les plateformes, est prête à concourir dès maintenant, aux côtés de la Commission européenne et de ses homologues européens, à la mise en place du cadre opérationnel de régulation des très grandes plateformes. », affirme-t-elle dans un communiqué.

Mise en place du projet Transmixr

L'AFP a récemment annoncé que le projet Transmixr avait reçu un financement de 9 millions d'euros de l'Union européenne, dans le cadre du programme Horizon Europe, pour la recherche et l'innovation. Le lancement de Transmixr a eu lieu ce mois-ci au travers de deux réunions les 25 et 26 octobre dernier à Athlone, en Irlande.

L'objectif de ce projet européen est de se servir de l'avancée des technologies liées à la réalité augmentée et à l'intelligence artificielle pour améliorer la création et la culture (CCS) et imaginer de nouvelles façons de cocréer et interagir pour s'engager dans le monde numérique. Transmixr, a pour but d'élaborer une plateforme XR de création, qui permettra des collaborations à distance dans un espace virtuel, et la diffusion et distribution de ces expériences immersives.

C'est grâce à des techniques d'IA que les utilisateurs auront accès à des contenus médiatiques complexes et hétérogènes sur une toute nouvelle plateforme aux contenus immersifs. A l'aide de la méthodologie des « Living Labs », Transmixr développera et évaluera quatre projets pilotes avec différentes expériences immersives dans quatre domaines clés du CCS : les médias d'information, la radiodiffusion, les arts du spectacle et le patrimoine culturel.

« TRANSMIXR est un projet passionnant qui créera des outils technologiques centrés sur l'utilisateur pour encourager la création, la consommation et la compréhension de nouvelles expériences médiatiques de manière collaborative et immersive. Soutenue par la convergence de l'AI et de la technologie XR, la conception de ces nouveaux systèmes s'appuiera sur les utilisateurs finaux et sera testée avec eux. L'un des principaux atouts du consortium TRANSMIXR est son interdisciplinarité, qui permet de réunir des compétences techniques, méthodologiques et sectorielles complémentaires afin de créer des solutions efficaces pour les secteurs de la création et de la culture. », déclare Niall Murray, Coordinateur du projet Transmixr, chercheur au SFI Adapt Centre.

Le consortium du projet réunit des universités et des centres de recherche.

« Nous allons travailler main dans la main avec des partenaires d'excellence, notamment des experts de l'intelligence artificielle et de la réalité augmentée, pour définir les besoins de notre profession dans ces domaines et les aider à créer des outils essentiels pour les rédactions du futur », affirme Christine Buhagiar, Directrice régionale Europe de l'AFP.

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