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Le Monde, Webedia, Snapchat, Discord, Aux Jeux Streamers... Médias et réseaux sociaux : quoi de neuf ? (18 - 22 mars)
Chaque semaine, nous vous proposons une plongée dans l'actualité bouillonnante des réseaux sociaux et des médias. Au menu : Le Monde conclut un accord de partenariat avec OpenAI, Webedia lance une nouvelle solution publicitaire baptisée "Targett", Snapchat améliore ses fonctionnalités de messagerie, Discord renforce son soutien envers les développeurs de jeux, France Télévisions crée "Aux Jeux Streamers" : des JO d'internet...
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Webedia lance une nouvelle solution publicitaire baptisée « Targett »
Le groupe Webedia annonce le lancement de « Targett », une nouvelle offre d'audience-planning qui met à disposition des clients du groupe le mix de sa data digitale qualifiée sur les thématiques du loisir et du divertissement, et un savoir-faire d'achat multiplateformes et plurimédias pour atteindre les cibles entertainment.
Conçue en complément des campagnes classiques, « Targett » propose l'achat d'espace publicitaire automatisé sur un environnement média (digital, TV, DOOH...) et social, en se basant sur la data de Webedia. L'offre est d'ores et déjà disponible pour les campagnes des annonceurs cinéma, home entertainment et édition littéraire, et sera amenée à s'ouvrir aux autres univers du groupe.
Cette nouvelle solution s'articule en plusieurs étapes : la collecte de la première donnée entertainment first-party grâce aux contenus médias et sociaux de Webedia ; la construction, à partir de cette data collectée, des meilleurs segments d'audience en fonction des cibles et des enjeux des marques ; la création de formats publicitaires adaptés à la cible et au support sur lequel sera diffusée la campagne ; et enfin, la diffusion en multi-supports du message.
Le groupe Webedia précise d'ailleurs que « les équipes Targett se chargent d'acheter l'inventaire média pertinent pour toucher les cibles first-party Webedia sur les autres sites et médias qu'elles consomment, ainsi qu'au coeur de leur fréquentation sociale. La meilleure scénarisation cross-médias sera proposée aux annonceurs pour répondre aux objectifs de leurs marques ».
Le Monde conclut un partenariat avec Open AI
Dans un article publié le 13 mars dernier, le journal Le Monde a annoncé avoir conclu un accord de partenariat avec OpenAI, l'entreprise spécialisée dans l'intelligence artificielle et notamment dans la création de ChatGPT.
L'objectif de ce partenariat ? Permettre à ChatGPT de se servir du corpus du journal Le Monde pour affiner et fiabiliser ses réponses, et ainsi devenir une source plus complète, basée sur des contenus faisant autorité. D'ailleurs, les références aux articles du journal seront mises en exergue par l'apparition d'un logo, l'ajout d'un lien hypertexte, ainsi que l'apparition du titre du ou des article(s) cité(s).
Cet accord représente le tout premier signé entre un média français et un acteur de l'industrie de l'intelligence artificielle. Les équipes Le Monde précisent que cet accord va s'inscrire dans la durée, et qu'il permettra au journal de réaliser des projets plus ambitieux, ou de développer des fonctionnalités à partir de l'IA.
Les équipes du journal précisent que ce premier accord aidera l'ensemble du secteur, puisque face au perfectionnement des sources de ChatGPT, les autres plateformes d'IA ne pourront pas ou plus refuser de potentielles négociations. Elles précisent également qu'il est nécessaire de rester mobiles face au recours de plus en plus fréquent à l'intelligence artificielle qui peut, si elle est utilisée à mauvais escient, contribuer à la divulgation de mauvaises informations par exemple.
Toutefois, le journal reconnaît la puissance de l'IA et les possibilités qu'elle peut offrir pour le journalisme. Dans cette optique, les équipes du Monde ont élaboré une charte d'éthique et de déontologie, consacrée à l'utilisation de l'IA au sein du groupe. L'accord avec OpenAI représente donc sa volonté de mener une stratégie d'innovations raisonnées.
MEDIAOBS choisit la solution Prisma Media for Publishers pour ses marques digitales
MEDIAOBS, qui assure la commercialisation de près de 60 marques média (Challenges, Sciences et Avenir, les Inrocks, Têtu...), a choisi la solution publicitaire Prisma Media for Publishers pour l'ensemble de ses marques digitales.
Elles vont ainsi venir enrichir l'offre de Prisma for Publishers sur de nombreuses verticales telles que l'entertainment, la découverte ou encore l'éco-news. Grâce à ce partenariat, MEDIAOBS bénéficiera de nouvelles solutions tech et de mesures compatibles avec les exigences du marché publicitaire afin de pérenniser son référencement en agence média.
Prisma Media for Publishers conseillera MEDIAOBS sur les bonnes pratiques éditeurs afin de maximiser les performances digitales, et permettre à la régie de continuer sa stratégie de premiumisation de ses inventaires.
« Nous avons choisi Prisma Media for Publishers car nous sommes convaincus que l'union de nos audiences est une force sur un marché où l'offre publicitaire est atomisée. Ce partenariat répond à notre stratégie de premiumisation de notre offre publicitaire digitale. Il va nous permettre de poursuivre notre référencement en agence média et de pérenniser nos relations avec nos partenaires éditeurs et annonceurs. Nous comptons sur les compétences d'un grand groupe média en continuant de défendre les intérêts de nos éditeurs indépendants », déclare Baptiste Mirande, Directeur digital pour MEDIAOBS.
« Nous sommes fiers d'accueillir MEDIAOBS. Ce partenariat démontre le travail de qualité fourni par les équipes afin de proposer une solution robuste, qui réponde à la fois aux exigences des éditeurs, agences et annonceurs. MEDIAOBS bénéficiera de notre expertise sur l'ensemble des métiers adtech, afin d'accélérer sur ce marché en pleine mutation, et anticiper au mieux les nombreux challenges de cette nouvelle année », ajoute Raphaël Geronimi, Head of Prisma Media for Publishers & Audio.
Reworld Media soutient la création d'une agence dédiée au bien-être
L'agence conseil « Le Bien », dédiée aux univers du bien-être et du bien-vieillir, voit le jour avec le soutien de Reworld Media. Créée autour d'un collectif d'une quinzaine de spécialistes du secteur, elle couvre à la fois le conseil stratégique, la création, et la production d'activation marketing, ainsi que leur amplification. Son offre combine donc à la fois la créativité et l'expertise sectorielle d'un niche player, et des moyens de production et de la data first party d'un grand groupe média.
Pilotée par Sabina Gros, Managing Director Diversitification chez Reworld Media, et par Adrien Bouvier, précédemment fondateur du groupe Intelligence Senior, Le Bien apporte un accompagnement complet, du conseil stratégique au déploiement des activations, en passant par la création et la production.
Pour cela, l'agence s'appuie sur l'expertise d'un collectif composé de professionnels du secteur médical (comme Dr. Gérald Kierzek), de créatifs, d'influenceurs (Dr. Jimmy Mohammed notamment), et des rédactions de marques médias référentes telles que Doctissimo, Psychologies, ou encore Top Santé.
« L'ambition est claire : être capable de répondre à tous les enjeux marketing et communication des acteurs du bien-être et du bien-vieillir », explique Adrien Bouvier. « Notre mission étant de fédérer les meilleurs experts des sujets et problématiques de nos clients, en nous appuyant sur les savoir-faire de production, d'amplification et la data du groupe Reworld, tout en conservant notre indépendance conseil et créative ».
À une époque où l'environnement de la santé et du bien-être reste contraint, tout en ayant des enjeux de modernisation et d'innovation, l'agence Le Bien propose une exigence clé en termes d'impact et de performance des campagnes marketing et communication.
« Au-delà des expertises, nous avons aussi des convictions. Celles que les marques doivent aujourd'hui traiter avec autant de modernité, de créativité, et d'intensité l'ensemble de ces sujets Bien-être et Bien-vieillir qui sont encore trop souvent sous-valorisés ou traités de manière anxiogène. Il est possible de créer de l'enthousiasme et de l'engagement », indique Adrien Bouvier.
Sept nouvelles agences rejoignent le projet European Newsroom aux côtés de l'AFP
En 2022, 16 agences dont dpa (Allemagne), ANSA (Italie), et l'AFP, lançaient la « European newsroom » (ENR), un projet qui vise à renforcer les échanges entre les journalistes d'agence via la production de contenus et l'organisation de formations. Sept nouvelles agences viennent rejoindre le projet qui réunit désormais 23 acteurs majeurs partout en Europe.
Co-financée par la Commission européenne, la European Newsroom est installée à Bruxelles et offre 45 postes de travail aux correspondants des agences participantes. D'ailleurs, ce sont les agences dpa (Allemagne), AFP (France), ANSA (Italie), AGERPRES (Roumanie), HINA (Croatie), et STA (Slovénie), qui forment le comité de pilotage du projet. L'agence ukrainienne Ukrinform, quant à elle, fait partie de la salle de presse européenne dans le cadre d'un partenariat de solidarité.
« L'Agence France-Presse est fière de partager son expertise et son expérience pour contribuer au succès de ce projet original impliquant des agences de tailles diverses de la plupart des pays de l'Union européenne. Lorsque les agences européennes collaborent et se soutiennent mutuellement, elles peuvent générer des contenus plus diversifiés pour tous les citoyens européens. En tant que président de l'Alliance européenne des agences de presse (EANA), je soutiens de tels efforts de coopération », déclare Fabrice Fries, PDG de l'AFP.
Depuis son lancement, l'ENR a permis de publier de nombreux contenus sur son site, d'organiser plusieurs formations à destination des journalistes des agences partenaires, et de mener des interviews de dirigeants de l'Union européenne. Cette année, la European Newsroom va d'ailleurs créer du contenu multimédia exclusif pour la couverture des élections européennes prévues du 6 au 9 juin prochain.
Au cours des prochaines semaines, de nouveaux formats vont également être produits, notamment des contenus vidéos pour les réseaux sociaux et le site internet du projet. Avec l'arrivée de ces sept nouveaux membres, l'ENR va proposer du contenu en 22 langues européennes, afin de permettre à un maximum de personnes de s'informer sur l'impact de la politique de l'UE dans les différents pays européens.
JO de Paris 2024 : des stars d'internet participeront à leur propre compétition
Ces derniers mois, les stars d'internet occupent de plus en plus fréquemment le paysage médiatique. Nous avons pu le voir avec le projet du youtubeur Michou notamment, qui a proposé le concept « Danse avec les stars d'internet », qui reprend tout de l'émission phare du groupe TF1, de ses moyens de production, à son plateau, en passant par sa plateforme TF1+, mais aussi par sa chaîne télé puisque la finale de #DALSI aura lieu le 29 mars prochain en direct sur TF1.
Cette fois-ci, c'est au tour de France Télévisions de proposer une collaboration entre monde de la télévision et stars d'internet avec « Aux Jeux Streamers », une compétition sportive à la manière des Jeux de Paris 2024, qui aura lieu le 27 avril prochain depuis Paris la Défense Arena.
Cette compétition réunira 32 participants provenant d'horizons différents (sport, télévision...), dont les capitaines d'équipe sont majoritairement issus d'internet. On y retrouve le streamer Brawks, la streameuse Baghera, l'animateur de l'émission « PopCorn » sur Twitch, Domingo, ou encore les youtubeurs TheoBabac et TiboInshape.
« Aux Jeux Streamers » sera diffusé sur France Télévisions et sur la chaîne Twitch du streamer ZeratoR qui présentera aussi l'événement, et qui est un habitué des gros concepts puisqu'il a été à l'initiative du « ZEvent », l'événement caritatif Twitch le plus suivi en France.
Les JO d'internet façon FranceTV et Twitch, vont opposer huit équipes qui s'affronteront sur huit sports olympiques comme le ping-pong ou l'escrime. Mais c'était sans compter sur les avis négatifs des utilisateurs...
En effet, suite à la publication de la bande-annonce de l'événement, de nombreux utilisateurs ont fait part de leur mécontentement concernant les participants aux Jeux. Ils ont notamment évoqué la youtubeuse Ophenya ou le youtubeur TiboInshape qui ont déjà fait l'objet de polémiques sur les réseaux sociaux auparavant.
Quelques heures après sa publication, la première bande-annonce a été supprimée, tout comme le lien de la billetterie de l'événement. Dans le même temps, la streameuse Baghera ou le présentateur de l'événement, ZeratoR, ont fait part du fait qu'ils n'avaient pas connaissance de tous les noms des participants avant d'accepter d'y prendre part... Une douce façon de dire qu'ils sont d'accord avec les utilisateurs finalement.
France Télévisions devrait s'exprimer sur tout cela dans un communiqué, et donner davantage d'informations sur la tenue de l'événement, et sur son organisation. Affaire à suivre...
Discord renforce son soutien envers les développeurs de jeux
En 2015, Discord était lancée pour offrir aux fans de jeux vidéo une nouvelle manière d'échanger entre eux, tout en jouant. Depuis, le monde du jeu vidéo n'a cessé de prendre de l'espace : « Rien que sur Discord, nous hébergeons chaque mois 1,5 milliard d'heures de jeu sur plus de 60 000 titres », précise Peter Sellis, VP Product chez Discord.
Cette expansion du jeu vidéo partout dans le monde, constitue un défi majeur pour les développeurs de jeux qui souhaitent se faire un nom. Dans cette optique, Discord propose de nouvelles manières de soutenir ces développeurs, et de les aider à conquérir de nouveaux utilisateurs.
Tout d'abord, Discord souhaite ouvrir ses « quêtes » à davantage de jeux. Mais que sont les Quêtes Discord ? Concrètement, les quêtes représentent des défis lancés aux utilisateurs, qui les incitent à jouer à certains jeux pour obtenir des récompenses. Lancées l'année dernière, les quêtes ont permis à plusieurs développeurs de faire connaître leur jeu à des utilisateurs Discord qui sont considérés, finalement, comme des testeurs de jeux vidéo.
Face au succès des Quêtes, Discord annonce qu'elles seront ouvertes à davantage de jeux au cours des prochains mois. Les développeurs de jeux travailleront donc main dans la main avec les équipes de la plateforme pour faire découvrir leurs créations, et offrir une expérience adaptée à leurs jeux.
Dans un second temps, Discord enrichit sa boutique qui a été lancée l'année dernière, et qui permet aux utilisateurs d'acheter des accessoires personnalisés, notamment pour décorer l'avatar de leur profil utilisateur. Cette fois-ci, Discord proposera des accessoires personnalisés en collaboration avec des développeurs de jeux. Le point fort de cette nouveauté ? La plateforme partagera les revenus de ces achats avec les développeurs.
« Nous sommes ravis d'aider les développeurs à donner vie à leurs idées afin qu'ils puissent bâtir des entreprises plus solides de manière à ce que tout le monde ait l'opportunité de découvrir et de jouer à des jeux plus amusants », conclut Peter Sellis.
Snapchat améliore ses fonctionnalités de messagerie
Au moment de sa création, la plateforme Snapchat s'était démarquée d'autres applications par son caractère « instantané » et éphémère. En effet, elle avait pour fonctionnalité principale de mettre l'accent sur la photo prise à un moment précis, et de supprimer ses messages directement ou 24 heures après leur lecture.
« L'éphémère a toujours été au coeur de notre philosophie, et ces paramètres par défaut ne nous empêchent pas de conserver des données pour que nous examinions les signalements de notre communauté », précisent les équipes de Snap Inc.
En réponse aux demandes des utilisateurs de Snapchat, l'application a décidé de changer sa philosophie et de proposer un nouveau paramètre de conversation : la conservation indéfinie des messages.
À la manière des SMS ou des iMessages, les snapchatters auront maintenant la possibilité de conserver indéfiniment leurs conversations. Seuls les utilisateurs qui souhaitent utiliser cette fonctionnalité pourront l'activer, conversation par conversation, en fonction de leurs envies et besoins.
YouTube enrichit ses fonctionnalités TV
Les utilisateurs passent de plus en plus de temps devant des vidéos YouTube, que cela soit sur téléphone, sur ordinateur, ou sur tablette. Mais bon nombre d'entre eux préfèrent vivre l'expérience sur grand écran avec YouTube TV. Face à ce constat, YouTube a décidé d'enrichir ses fonctionnalités TV afin d'offrir une expérience utilisateur complète aux fans de vidéos.
La plateforme a pris conscience que les utilisateurs aimaient lire les commentaires ou lire les descriptions, en même temps qu'ils regardent une vidéo. Auparavant, les commentaires apparaissaient sur la partie droite de l'écran par-dessus la vidéo regardée, ce qui nuisait à son visionnage. Désormais, si les utilisateurs cliquent sur l'espace commentaire sur leur téléviseur, le lecteur vidéo se réduit sur la gauche pour laisser apparaître les messages sur la droite, sans obstruer une partie de l'écran. Cela vaut également pour les fonctionnalités shopping puisque les produits à acheter apparaissent également à côté de la vidéo visionnée.
Pour arriver à ce nouveau mode de lecture, YouTube a conçu trois prototypes différents, correspondant à trois expériences de visionnage différentes pour accéder à toutes les fonctionnalités offertes par YouTube : mettre une vidéo sur pause, faire une avance rapide, accéder aux commentaires et aux descriptions, accéder aux statistiques de la vidéo, à sa date de publication, ses likes, son nombre de vues...
Désormais, les utilisateurs peuvent naviguer partout où ils le veulent sur la vidéo, sans pour autant devoir mettre pause, ou utiliser un autre device pour compléter leur expérience.
Qu'est-ce que TikTok Photos, l'appli ByteDance qui pourrait faire de l'ombre à Instagram ?
Le 11 mars dernier, AssembleDebug, blogueur spécialisé dans la révélation de nouvelles fonctionnalités de Google Aps, a révélé sur son blog que ByteDance, la maison-mère de TikTok, serait en train de travailler sur une nouvelle application baptisée « TikTok Photos ».
Le blogueur a étudié les extraits de code du système d'exploitation de TikTok sur Android, et les a comparés avec les anciennes versions pour découvrir TikTok Photos. Pourtant, la plateforme de vidéos permettait déjà à ses utilisateurs de partager des photos sur leurs comptes. Cette fois-ci, TikTok semblerait vouloir consacrer une application entière et complète au format photo.
Mauvaise nouvelle pour Instagram, qui à l'origine était une application spécialement dédiée au partage de photos. Alors que TikTok est la plateforme leader du format court qui a provoqué la naissance de nombreux autres formats sur des applications concurrentes (Shorts sur YouTube, Reels sur Instagram...), elle devient l'application qui s'inspire à son tour de ses concurrents, ici d'Instagram.
AssembleDebug a même affirmé être tombé sur le logo de la future application qui devrait prochainement voir le jour...
Fin du diaporama
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