Le snacking réhabilité?
«On appelle snacking un peu tout et n'importe quoi, résume Sophie Romet, dg de Dragon Rouge. C'est autant l'apéritif, qui tend à remplacer l'entrée, que les repas informels. Il y a en outre une aura négative autour de ce mot.» A l'heure où l'obésité touche 12,4% de la population française (source: enquête ObEpi-Roche 2006) et où le surpoids concerne 29,2% des Français, le snacking est souvent pointé du doigt comme étant l'un des principaux responsables de ce fléau. Le grignotage entre les repas et la prise de nour riture devant l'ordinateur ou dans la rue sont devenus monnaie courante. Luc Speisser, directeur stratégie et