Comme les autres
À LIRE AUSSI
- Bien-être avec soi, bien avec les autres
- Goût et santé : les deux font la paire dans les assiettes des Français
- Les stades de vie, nouveau mode de segmentation
- Photo numérique : encore du potentiel
- Consommation en GMS : stabilité en août
- Dentifrices : un marché en bonne forme
- Contre un nouveau mauvais procès fait aux marques
- Ces marques qui vendent du pack…
- Teléphonie sur Internet
- DS nouvelle génération
- La techno, cela donne faim
- Connaissez-vous le Fightpod ?
- Cadre animé
- Régression techno
- Bien-être avec soi, bien avec les autres
- Goût et santé : les deux font la paire dans les assiettes des Français
- Les stades de vie, nouveau mode de segmentation
- Photo numérique : encore du potentiel
- Consommation en GMS : stabilité en août
- Dentifrices : un marché en bonne forme
- Contre un nouveau mauvais procès fait aux marques
- Ces marques qui vendent du pack…
- Teléphonie sur Internet
- DS nouvelle génération
- La techno, cela donne faim
- Connaissez-vous le Fightpod ?
- Cadre animé
Des échantillons non représentatifs. Des répondants essentiellement
composés de “chasseurs de primes”. L'impossibilité de faire des études
qualitatives en profondeur. Un mode de recueil mineur, adapté seulement à
quelques types d'études. Ou à quelques populations cibles, essentiellement
qualifiées de “rares”. Une inadaptation aux études d'opinion. Des surpromesses.
Etc. Toutes ces critiques, que chacun a pu entendre ou lire, ne sont pas si
anciennes que cela. Quelques années à peine. Mais quelques années qui ont suffi
à inverser la
tendance. Quel est aujourd'hui le “grand institut généraliste” qui n'a pas
développé d'offre spécifique, qui plus est dans un cadre international?? Quels
sont, parmi les autres instituts, ceux qui ne disposent pas d'une solution
adéquate, soit en propre, soit par l'intermédiaire de l'un des fournisseurs de
terrain spécialisés?? Quant aux sociétés dédiées, leur vitalité est patente. En
un mot, le mode de recueil on line a, quasi définitivement, conquis sa place au
sein du monde des études. Qu'il s'agisse des instituts ou, plus décisif, de
leurs clients. Certes, les avantages que ces derniers considèrent comme
majeurs - rapidité, cibles rares et baisse des coûts - sont les mêmes qu'il y a
peu. Mais le plus important, comme le montre le sondage - on line bien sûr -
Ipsos
Observer - Marketing Magazine (voir p. 66), c'est que la confiance s'est
installée. Globalement, pour la grande majorité des types d'études et pour
durer. Mais, si le on line est désormais considéré aujourd'hui “comme les
autres” modes de recueil, il n'en reste pas moins un vaste champ
d'expérimentation. Mais aussi d'innovation potentielle.
Qu'il s'agisse de la gestion des access panels, des différents process,
des méthodologies d'études mêmes… Ce qui le rend d'autant plus passionnant et,
encore, quelque peu différent.