E-adresses et "vraix-faux" NPAI
Les fichiers mails comportent davantage d'adresses invalides que les sources postales. En apparence du moins.
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Les fichiers d'adresses électroniques présentent des spécificités en termes
de NPAI, avec des taux très élevés, y compris pour les fichiers-sources les
plus fiables. Exemple : une liste B to B, constituée et entretenue dans les
meilleures conditions, présentera facilement un taux de NPAI de 15 %. Mais le
niveau des "vrais" NPAI (adresse non attribuée, résiliée ou incorrectement
formulée) ne sera que de 1,5 %. Pourquoi ? Tout simplement parce que les 13,5 %
restant ne se révèlent comme de "faux" NPAI qu'après deux, trois ou quatre
envois. Lors du premier routage, les aléas de la cyber technologie auront en
fait empêché le message d'aboutir : saturation des lignes, problèmes de
serveurs, plantages divers. C'est pourquoi les entreprises en quête
d'e-adresses ont tout intérêt à demander, dans le cadre des plans-fichiers, que
ne leur soient facturées que les adresses abouties.