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Les 10 idées marketing de la semaine (7-11déc.)
La rédaction a sélectionné pour vous 10 informations marketing percutantes. Au menu cette semaine: les tendances marketing 2016 dans l'univers B to B, les causes du mauvais référencement web et Uber réinvente le bus.
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Au sommaire cette semaine:
1. Comment la data transformera-t-elle le marketing B to B en 2016 ?
2. Enrichir ses présentations grâce à une table de réunion connectée
3. Uber réinvente le bus
4. Portrait de l'acheteur B to B de demain
5. 5 différences entre Google Map Maker et Google My Business
6. Les fiches produits erronées, un point noir dans la vente en ligne
7. LinkedIn, un nouvel outil de benchmark ?
8. Vers une adoption massive du paiement mobile
9. Mauvais référencement : et si ce n'était pas dû au nouvel algorithme de Google ?
10. Les succès des marques sur YouTube en 2015
Comment la data transformera-t-elle le marketing B to B en 2016 ?
Adage identifie cinq tendances data driven pour 2016, parmi lesquelles l'account based marketing, nouveau Graal du B to B. Les professionnels se tournent également vers le lead scoring (un score est affecté à chaque lead en fonction de la taille de l'entreprise et de ses caractéristiques) et le marketing prédictif. En parallèle, le marketing programmatique s'internalise et les marketers nourrissent leurs contenus de third party data.
À lire sur Adage.
Enrichir ses présentations grâce à une table de réunion connectée
En Belgique, le studio de création Active Me a développé une table de réunion interactive pour le compte de l'agence médias MEC Global. La surface réagit au contact de certains objets (les cartes de visite, par exemple) et permet au client d'éditer en temps réel les présentations de l'agence. La table est reliée à un vidéoprojecteur. Un moyen de mettre en avant la cocréation et ainsi de renforcer les liens entre agence et client.
À lire sur Creapills.
Uber réinvente le bus
Les entreprises tombent parfois dans le piège de l'innovation pour l'innovation et de la rationnalisation à outrance de leurs services. Ainsi, Uber a lancé le service UberHOP à Seattle : un véhicule récupère un groupe de clients à une heure et à un lieu prédéterminés et les dépose à un point fixe (trois routes aux choix). Uber sacrifie ainsi le bénéfice client (être déposé devant sa porte) au profit de son taux de remplissage. Une erreur qui pourrait coûter cher à une entreprise B to B.
À lire sur Business Insider.
Portrait de l'acheteur B to B de demain
Laura Ramos, VP-principal analyst, b-to-b marketing au sein de Forrester Research, analyse l'évolution de la relation client en B to B: "Les clients B to B adoptent le comportement des consommateurs lambda. De plus, les CMO se retrouvent confrontés à cette problématique: "comment mixer une expérience digitale convaincante et une approche off line qui a déjà fonctionné pour les clients et auxquelles ils sont attachés?""
À lire sur Adage.
5 différences entre Google Map Maker et Google My Business
De nombreux responsables SEO travaillant avec des marchands locaux se souviennent de mauvaises expériences avec Google Map Maker. La raison est simple : les règles diffèrent de celles de Google My Business. Par exemple, lorsqu'une boutique déménage, il suffit de changer son adresse dans le tableau de bord sur GMB, tandis qu'il faut la supprimer et en créer une nouvelle sur Map Maker.
D'autres astuces sur Marketing Land.
Les fiches produits erronées, un point noir dans la vente en ligne
La relation à la marque sur le digital, à la fois pour les clients particuliers et professionnels, pâtit fortement des erreurs contenues dans les fiches produits. En effet, selon une étude réalisée en août 205 par l'agence Shotfarm, 53% des consommateurs aux États-Unis considèrent comme "hautement improbable" le fait de racheter un produit auprès d'une marque dont l'article ne correspondait pas à la description sur le site de vente.
À lire sur eMarketer.
LinkedIn, un nouvel outil de benchmark ?
LinkedIn serait considérée comme "la seule plateforme efficace" par une majorité de marketers B to B, selon le Content marketing Institute. Les professionnels se montrent sensibles à la possibilité d'ajouter à leur réseau et à leurs conversations des leaders de leur secteur. La possibilité de liker et partager les contenus permet également aux entreprises de déterminer les centres d'intérêt de leurs contacts.
À lire sur The Drum.
Vers une adoption massive du paiement mobile
Le paiement mobile en point de vente apparaît toujours prometteur. En 2015, le montant des paiements sur mobile aux États-Unis devrait atteindre 8,71 milliards de dollars. Un chiffre qui devrait croître de 210% dans l'année qui suit et qui a entraîné une multiplication des acteurs dans le secteur des mobile wallets.
À lire sur l'Atelier BNP Paribas.
Mauvais référencement : et si ce n'était pas dû au nouvel algorithme de Google ?
De nombreuses entreprises mettent les chutes de SEO sur le compte des changements d'algorithmes de recherche. Pourtant, d'autres pistes doivent être explorées. Ainsi, le site web de l'entreprise est-il correctement optimisé pour le mobile ? Le site n'a-t-il pas perdu des backlinks importants ? Les codes de tracking analytics sont-ils bien implantés sur toutes les nouvelles pages ?
À lire sur Search Engine Land.
Les succès des marques sur YouTube en 2015
Parmi les opérations remarquées des marques, on notera la campagne virale de Barbie, qui contre les critiques en présentant dans un spot des jeunes filles dans le rôle de working girls (une vétérinaire, une business women...). La vidéo a réalisé 16 millions de vues sur YouTube. Par ailleurs, Google, via son spot "Friends furever", montre des amitiés animalières improbables (cf. visuel ci-dessus): 21 millions de vues. À quand une vidéo B to B virale ?
À lire sur CMO.
Fin du diaporama
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