MMS : des promesses et beaucoup de questions
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Les premiers kiosques MMS (multimedia messaging service) devraient
apparaître dans le courant de l'année 2003. Les opérateurs mobile ont encore
des progrès à faire en matière de gestion technique et notamment de réseaux :
le MMS utilise des réseaux par paquets et donc le GPRS, et ultérieurement
l'UMTS, alors que le SMS passe par le réseau GSM. Il faudra également que
l'équipement en terminaux mobiles adaptés soit suffisamment significatif pour
permettre aux entreprises d'utiliser le MMS. Selon Frost & Sullivan, on ne
pourra pas parler de marché de masse avant 2005. Il faudra également définir
des paliers tarifaires. Aujourd'hui, l'envoi d'un MMS coûte environ 0,40 euro
(contre 0,15 euro pour un SMS). Les opérateurs devront vraisemblablement
proposer des systèmes de facturation équitables, basés par exemple sur la
qualité du contenu échangé ou sur la quantité des données échangées. Ou encore
basées sur un système pay-per-view. Devant la multiplicité des conditions au
bon développement du MMS, certains misent davantage sur l'EMS (enhanced
messaging service), qui conjugue la richesse fonctionnelle des MMS et la
praticité technologique des SMS.