Don't Call Me Jennyfer placarde... ses vêtements sur les murs

La marque de prêt-à-porter féminine dédiée à la Gen Z, Don't Call Me Jennyfer, a lancé la campagne "Zéro étiquette" en 2019 et "Zéro étiquette #2" en 2022. Imaginée avec l'aide de l'agence Buzzman, la campagne avait pour objectif de dénoncer les stéréotypes que subissent les adolescents et de casser les codes afin de prôner la diversité. Dans un contexte d'inflation, en février 2024, la nouvelle campagne de la marque, "Good Deals" - orchestrée par l'agence Change -, met en lumière une sélection de pièces intemporelles à petits prix, indispensables à tous les vestiaires féminins. À l'occasion du lancement de ses "Good Deals" en magasin, les murs se sont mués en vitrine avec Jennyfer avec une opération de street marketing "révolutionnant" l'affichage sauvage.

Une campagne d'affichage pas comme les autres

La marque de mode féminine prend d'assaut les grandes villes françaises - de Lille à Lyon, en passant par Paris et Marseille - avec cette campagne d'un nouveau genre utilisant le vêtement en tant qu'affichage urbain, remplaçant les traditionnelles affiches en papier par de véritables articles de mode en tissu. Au total, ce sont 5 outfits indispensables, allant de l'ensemble de jogging au pull en maille, qui ont été affichés près de lieux plébiscités par la Gen Z comme les cinémas, salles de concert, bars, cafés et universités. Chaque outfit répond ainsi à un besoin précis avec, en bonus, un prix attractif.

La campagne a été lancée simultanément dans plus d'une quinzaine de grandes villes, proposant ainsi à leurs jeunes habitantes et habitants des murs transformés en vitrine éphémère.