Pourquoi le Syntec est partenaire du Printemps des études
Le Syntec études marketing et opinion est partenaire officiel du Printemps des études, avec Esomar, l'UDA, l'Adetem et l'Irep. Patrice Bergen, président du Syntec études marketing et opinion, directeur général délégué d'Ipsos, explique cette décision.
Je m'abonneLe Syntec avait déjà décidé en 2010 de ne plus soutenir le Semo, qui était tombé dans un salon seulement commercial. Quand les instituts "dissidents" (certains membres du Syntec, d’autres non) ont décidé, en novembre 2010, de créer un collectif pour réfléchir à un nouvel événement de la profession, nous les avons suivis et soutenus.
De quelle façon avez-vous participé à l’élaboration du Printemps des études ?
Nous avons apporté notre expertise en participant au cahier des charges de l’événement. Le collectif nous a écoutés. Notre objectif était d’avoir du contenu.
Le Syntec organise deux tables rondes, une sur les achats, un thème que nous suivons, et l’autre sur les études on line. Notre volonté est de montrer en quoi le on line peut être un outil intéressant. Par ailleurs, nous avons mandaté Benoît Volatier(1) pour organiser 20 idées pour le futur by Carrefour des possibles, un "vivier" d’innovations(2). Il s’agit de montrer que le Syntec accompagne le Printemps des études et que nos préoccupations portent sur les sujets d’actualités que sont les achats et le on line mais aussi l’innovation.
On va voir si le Printemps vit sa vie. Il faut que l’événement soit dans une logique de contenu.
L’institut Ipsos ne participe pas en tant que tel au Printemps des études. Ipsos, comme d’autres gros instituts, n’a pas besoin de ce genre d’événement. Par ailleurs, Ipsos a actuellement suffisamment d’actualités avec la fusion avec Synovate !
(1) Vice-président Syntec études marketing et opinion et coprésident d’Occurrence.
(2) La conférence "20 idées pour le futur by Carrefour des Possibles" : mise en contexte par deux experts ; présentation par leurs créateurs d'une vingtaine de solutions innovantes, suivie d'un temps de rencontre avec ceux-ci, de façon à fertiliser la R&D des instituts d'études.
Format "One minute madness" : un projet, une minute, une personne, un visuel. Les projets, repérés par le Carrefour des possibles, se rattachent à quatre catégories : innovation directement exploitables par le secteur des études, technologies extrapolables, contenus et données, plateformes utilisateurs et communautés.