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M6, Salto, Disney+, Les Echos - Le Parisien... Les médias à la Une (23 - 27 janvier)

Publié par Doriane Dos Santos le

Dans les médias à la Une cette semaine : le groupe Les Echos - Le Parisien regroupe deux de ses filiales, Disney+ mise sur la production française, Salto est en route vers une dissolution, le groupe M6 lance la quatrième édition de sa semaine green...

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Le groupe M6 met en place la 4ème édition de sa semaine Green

Le Groupe M6 va lancer la 4ème édition de son dispositif éditorial consacré à l'environnement, du 5 au 12 février sur les antennes du Groupe M6.

A l'ère où les questions environnementales deviennent des priorités pour la majorité, le groupe M6 souhaite poursuivre son objectif : éveiller les consciences et mobiliser les Français en leur apportant des solutions concrètes pour préserver l'environnement. La semaine Green a été suivie par plus de 34 millions de Français à la télévision en 2022 et a permis de parler d'environnement et d'écologie à travers des programmes et des visages emblématiques du groupe M6.

Du 5 au 12 février, le groupe proposera des magazines et des divertissements sur de nombreuses thématiques telles que le gaspillage, l'habitat, la biodiversité, ou comment lier pouvoir d'achat et consommation responsable, sur M6, W9, 6ter, Gulli, Téva et RTL. Sur M6 Météo, les spectateurs pourront découvrir un lieu en France, symbolique du dérèglement climatique, ou des solutions apparues pour le combattre. Sur 6Play, les spectateurs pourront retrouver une sélection de documentaires produits par BBC autour des thématiques de la nature et du genre animalier.

Et en interne, le Groupe souhaite continuer de multiplier les initiatives, après avoir participé à l'atelier collaboratif La Fresque du Climat, et après avoir adhéré à Ecoprod.

Ecofunding : quelle efficacité pour les campagnes de sensibilisation proposées par TF1 Pub ?

En janvier 2022 TF1 Pub lançait Eco Funding, un programme publicitaire destiné à financer des campagnes pour sensibiliser les consommateurs sur les labels environnementaux recommandés par l'ADEME, et ainsi leur permettre de s'y retrouver, parmi une large liste de labels existants.

Avec ce programme participatif et gratuit, TF1 a souhaité créer un cercle vertueux : plus ses clients mettent en avant des produits ou services respectant les critères de l'ADEME sur ses médias, plus TF1 est en mesure d'abonder le fonds pour diffuser de nouvelles campagnes de sensibilisation. Par ailleurs, les annonceurs sont mentionnés à la fin de chaque spot publicitaire.

Depuis sa création, 27 marques ont participé au programme en diffusant près de 40 campagnes éligibles. En 2022, les consommateurs ont pu en apprendre davantage sur les labels environnementaux, sur l'étiquette énergie, et sur l'indice de réparabilité.

« Il est précieux que ce mouvement continue d'accélérer. Pour les consommateurs, c'est se familiariser avec une consommation plus responsable, et cela peut entraîner un vrai changement dans notre société », a déclaré l'ADEME.

Et en termes d'efficacité ? D'après une étude de TF1 Pub et de Toluna sur la diffusion des campagnes de sensibilisation financées par EcoFunding, 85% des répondants à l'étude affirment que ces campagnes leur ont effectivement permis de les informer sur les labels environnementaux. 82% déclarent que ces spots publicitaires leur permettent de mieux connaître des labels de confiance.

Concrètement, l'étude montre que l'Ecolabel européen a gagné 25 points de notoriété ; l'étiquette énergie a gagné 16 points de notoriété, et l'indice de réparabilité, 19 points de notoriété. Par ailleurs, 67% des répondants estiment que ces campagnes les encouragent à acheter des produits de marques labellisées.

Est-ce (vraiment) la fin de Salto ?

Une chose est sûre, l'avenir de Salto ne tient plus qu'à un fil... Depuis plusieurs semaines déjà, son avenir est menacé. En effet, le Netflix à la française, devait à l'origine être détenu par TF1 & M6 après signature de leur accord de fusion. Ce dernier n'ayant pas été acté, les deux groupes ont fait part de leur volonté de céder leurs parts. France Télévisions allait donc être le dernier et le seul actionnaire de la plateforme.

Canal, ou encore Amazon Prime Video devaient potentiellement entrer en discussion pour le rachat de la plateforme. Mais aucune annonce officielle n'a, à ce jour, été faite. France Télévisions a donc annoncé le 20 janvier dernier, son désengagement de la plateforme. Qu'est-ce que cela signifie concrètement ? Salto semble bel et bien se diriger vers une dissolution. La plateforme fermera donc ses portes dans les prochaines semaines.

Toutefois, Delphine Ernotte, Directrice Générale de France Télévisions, a affirmé que le groupe restait ouvert à des propositions de rachat, mais qu'il ne souhaitait pas laisser les salariés dans l'expectative pendant plusieurs mois... Autrement dit, si des groupes sont prêts à reprendre la plateforme, il faudrait que cela se fasse rapidement.

Si les discussions entreprises avec de potentiels actionnaires ont effectivement lieu, aucune d'entre elles ne mènent véritablement à une concrétisation. Les prochains jours devraient sceller définitivement l'avenir de la plateforme, qui semble plutôt se diriger vers une dissolution, et une cessation d'activités...

BFMTV lance une verticale dédiée au luxe

BFMTV lance « Iconic Business », une verticale consacrée à l'univers du luxe sur BFM Business. Le média souhaite donner la parole aux acteurs de l'univers du luxe à travers un dispositif global incluant une émission hebdomadaire, un site dédié, une newsletter, des podcasts, et des contenus digitaux.

Iconic Business sera animée par des journalistes spécialisées : Audrey Maubert, Pauline Tattevin, Audrey Tcherkoff, Eva Jacquot, Sarah Durant et Juliette Weiss.

Au programme : tous les vendredis à 21 heures, Audrey Maubert est à la tête d'une émission durant laquelle elle fera intervenir des acteurs du secteur du luxe. Le site internet iconicbusiness.fr revient sur toute l'actualité du secteur, en allant de la joaillerie à la mode, en passant par l'immobilier, le voyage ou encore la gastronomie. Des podcasts dédiés sont proposés par Audrey Tcherkoff qui dans une série de 6 épisodes de 45 minutes, part à la rencontre des personnalités du secteur. Les réseaux sociaux dédiés permettront de relayés les informations des journalistes ; et enfin, la newsletter dédiée proposera toutes les semaines un récapitulatif des informations à ne pas manquer.



L'Arcom signe une nouvelle convention avec le Ministère de l'éducation nationale et de la Jeunesse

Le 17 janvier 2023, Roch-Olivier Maistre, Président de l'Arcom, et Pap Ndiaye, Ministre de l'Education nationale et de la Jeunesse, ont signé une convention destinée à renforcer les coopérations entre le ministère et le régulateur dans le domaine de l'éducation aux médias et à l'information.

Ce partenariat s'inscrit dans la continuité des conventions signées par le ministère de l'Education nationale et de la Jeunesse avec Hadopi en 2019 et le CSA en 2020, l'objectif étant de développer des actions éducatives communes et de mobiliser les réseaux de chaque institution afin d'élargir le champ des actions menées.

Par cette convention, le ministère de l'Education nationale et de la Jeunesse, et l'Arcom prennent des engagement sur : la diffusion de ressources pédagogiques qui traitent des enjeux de représentations médiatiques ; la sensibilisation en direction du grand public pour des usages numériques responsables, en particulier d'internet et des réseaux sociaux ; le développement d'actions pédagogiques relatives à l'éducation aux médias, à l'information et à la citoyenneté numérique ; l'organisation de formations nationales ou académiques dans le cadre de la formation initiale et continue des enseignants ou de la formation de formateurs ; le partage d'expertise sur les enjeux de représentations médiatiques ; et l'encouragement à la pratique des médias scolaires.

Avec cette nouvelle signature, l'Arcom et le ministère souhaitent réaffirmer leur volonté de donner à chacun, les clés de compréhension de l'information.

Le groupe Les Echos-Le Parisien regroupe deux de ses filiales

Les Echos Formation a rejoint le 1er janvier 2023, Netexplo, pour renforcer l'offre de formation du Groupe Les Echos-Le Parisien.

Depuis 2018, Netexplo propose un catalogue de 7 certificats (Executive short certificates) en partenariat avec des écoles d'ingénieurs et de commerce françaises, qui accompagnent les managers de grandes entreprises dans les transformations technologiques mais aussi environnementales qui impactent les entreprises. En 2022, Netexplo a pu former près de 3000 dirigeants et managers à la transformation digitale, la data transformation, la 5G, l'innovation durables, ou encore le metaverse, grâce à une offre qui privilégie les formations courtes et à distance.

Quant à Les Echos Formation, il est présent depuis 15 ans sur le marché de la formation, et proposera dès mars 2023, un catalogue de formations entièrement repensé pour permettre aux décideurs économiques de développer leur entreprise de manière responsable et durable, afin de favoriser l'émergence d'une nouvelle société responsable, en accord avec la raison d'être du Groupe Les Echos-Le Parisien.

Avec le rapprochement de ses deux filiales, le groupe ambitionne de proposer une offre plus riche et plus impactante.

« Ce nouvel ensemble permettra d'accélérer le développement du groupe dans le domaine de la formation et de répondre aux attentes des entreprises de toutes tailles et dans tous les secteurs d'activité sur l'ensemble du territoire alors même qu'elles connaissent des enjeux importants d'adaptation des compétences aux transformations technologiques, durables et sociales en marche dans la société », déclare Guillaume Pernoud, Directeur général de Netexplo.

M6 Pub s'associe à Sirdata et propose de nouvelles méthodes de ciblage en TV segmentée

M6 Publicité décide d'enrichir son offre en s'associant à Sirdata, spécialiste des solutions de ciblage publicitaire, pour proposer des segments d'audience « acheteurs » et « intentionnistes ».

De cette manière, les annonceurs pourront bénéficier en TV segmentée, des ciblages qualifiés par Sirdata dans le respect du RGPD. Ces nouveaux segments sont rendus accessibles grâce à LiveRamp, spécialiste de la data collaboration, qui permet d'associer les audiences qualifiées par Sirdata sur le digital, avec les données des boxs des opérateurs télécom.

Ces nouvelles méthodes de ciblage viennent enrichir et compléter l'offre déjà disponible sur 6Play, la plateforme AVOD du groupe M6.

« Le ciblage en TV segmentée était une composante logique de l'offre 360° d'adressabilité de Sirdata, très attendue par nos clients. Nous sommes donc particulièrement fiers de pouvoir mener à bien ce projet avec des partenaires historiques, avec pour leitmotiv la transparence, la qualité et la conformité. », affirme Benoît Oberlé, CEO & Fondateur de Sirdata

« Ce partenariat avec Sirdata est l'opportunité pour nous d'innover à nouveau en matière de télévision segmentée, en apportant des solutions concrètes et à forte valeur ajoutée pour nos clients. C'est une parfaite illustration de la promesse de la télévision segmentée qui allie la puissance de l'écran de TV aux capacités de ciblage très fines du digital. », ajoute Hortense Thomine-Desmazures, DGA M6 Publicité en charge du digital, de l'innovation et du marketing.

Les FAI signent un accord en vue de la protection des retransmissions sportives

L'Arcom, l'Association pour la protection des programmes sportifs (APPS), la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms, Orange, Bouygues Télécom et SFR), et Iliad, ont conclu un accord visant à renforcer la lutte contre la diffusion illicite de contenus sportifs en ligne.

Depuis un an, l'Arcom reçoit plusieurs plaintes liées à la diffusion illicite de ces contenus sportifs. Les FAI ont donc appliqué les mesures de blocage et ont permis de bloquer 1299 sites illégaux. L'audience sportive illicite globale a ainsi diminué de 49%.

Avec cet accord, l'Arcom, l'APPS, la FFTélécoms et Iliad souhaitent renforcer et accélérer encore davantage les mesures prises pour protéger les manifestations sportives.

« La conclusion de cet accord est l'aboutissement d'un véritable travail d'équipe qui a désormais vocation à se poursuivre, pour anticiper l'évolution des usages, protéger les droits et permettre leur juste rémunération. La lutte contre le piratage sportif sur internet protège les grandes compétitions qui nous rassemblent comme elle protège le financement du sport amateur, dont la pratique dans nos territoires participe à leur vitalité, favorise l'inclusion et encourage la cohésion », déclare Roch-Olivier Maistre, président de l'Arcom

« Après plus d'une année de négociations, nous nous félicitons d'aboutir à un accord qui permettra aux fournisseurs d'accès à internet de bénéficier d'un cadre contractuel et technique facilitant la mise en oeuvre de ces blocages, et aux titulaires de droits d'être mieux protégés encore face au piratage illégal. Nous appelons désormais de nos voeux la conclusion de nouveaux accords par de nouveaux acteurs tels que les hébergeurs ou les moteurs de recherche afin de concrétiser la mise en oeuvre de ce « filet de protection » sur l'ensemble de la chaîne de l'écosystème numérique », ajoute, Liza Bellulo, présidente de la FFTélécoms.

« Cette signature marque une étape importante pour la protection des contenus sportifs en France sur laquelle les membres de l'APPS, réunissant à la fois diffuseurs et ayants droit, ont su construire et pérenniser leur entente. Fruit d'un dialogue constructif avec l'Arcom et les fournisseurs d'accès à internet, cet accord va permettre d'accélérer et de massifier la lutte contre le piratage sportif, tout en laissant la possibilité de l'adapter aux nouveaux modes d'accès illégaux que sont notamment les offres IPTV. Collectivement, nous pourrons ainsi mieux cibler les services illicites qui s'attaquent au pilier du financement du sport que sont les droits audiovisuels », conclut, Maxime Saada, président de l'APPS.

JCDecaux renforce sa position au Brésil

Le groupe JCDecaux renforce sa position au Brésil avec la signature d'un contrat de 10 ans avec CCR Metro Bahia pour l'exploitation publicitaire de ses deux lignes de métro à Salvador. Ce nouveau partenariat qui débutera en mars 2023 vient soutenir la stratégie de développement de JCDecaux et renforcer sa position de leader des médias dans les métros au Brésil.

Les dispositifs publicitaires actuels des deux lignes de métro seront désormais gérés par JCDecaux, soit plus de 40 mobiliers digitaux répartis sur l'ensemble des stations, 162 mobiliers analogiques au sein des gares routières ainsi que 520 écrans TV à l'intérieur des rames de métro. Ce nouveau contrat permet au groupe JCDecaux de pouvoir toucher plus de 7,7 millions de passagers par jour. Les annonceurs bénéficieront ainsi d'une nouvelle offre digitale comprenant plus de 1200 faces publicitaires.

« Nous sommes ravis d'avoir remporté ce nouveau contrat et souhaitons remercier chaleureusement CCR Metro Bahia et ses équipes pour leur confiance. Ce partenariat vise les meilleurs standards en matière de communication extérieure digitale et ce, grâce à nos solutions basées sur les données à la pointe de la technologie. En tant que numéro un des médias dans les métros au Brésil, nous sommes convaincus que ce nouveau contrat renforcera notre leadership et permettra aux annonceurs de bénéficier de l'expertise de JCDecaux dans le secteur des transports au sein de la région nord-est du pays. Classé parmi les dix premiers marchés publicitaires mondiaux et leader en Amérique latine, le Brésil est pionnier en matière de communication digitale. Il s'agit de l'un des marchés où les actifs de JCDecaux sont les plus digitalisés, représentant déjà plus de la moitié de nos revenus dans le pays. Avec ce partenariat, nous sommes déterminés à poursuivre notre mission : offrir des solutions média innovantes pour la communication et au service des villes, des partenaires, des citoyens, des annonceurs et de leurs marques », a déclaré Jean-Charles Decaux, Président du Directoire et Co-Directeur Général de JCDecaux.

Disney+ mise sur la production française en 2023

Disney+ souhaite se réinventer et proposer des contenus aux genres différents : drame, comédie romantique, biopic, action... Cette année, la plateforme met à l'honneur les productions françaises avec un nouveau line up qui vise à divertir et inspirer.

« Chez Disney+, nous proposons une diversité de genres et de contenus qui permettent à chacun de s'identifier à nos histoires et à nos personnages », déclare Pauline Dauvin, Vice-Présidente chargée des contenus originaux de Disney+.

Au menu, 6 nouvelles productions françaises : Les Amateurs Saison 2 (Comédie), disponible depuis le 4 janvier ; Tout Va Bien (Comédie dramatique) qui sera rendu disponible prochainement ; Antigang : La Relève (Action), qui sera également accessible dans quelques semaines ; Irrésistible (Comédie romantique), aussi prochainement disponible; Une Zone à Défendre (Romantique, Action), disponible prochainement ; et Kaiser Karl (Série fiction), qui est actuellement en cours de production.

« La France regorge de talents, avec un véritable savoir-faire lorsqu'il s'agit de certain genre comme l'action à la Française, qui jouit notamment d'un beau succès en dehors de la France. Nous avons à coeur de contribuer à leur rayonnement en proposant davantage de créations originales françaises sur notre plateforme, présente dans plus de 100 pays », conclut Pauline Dauvin.

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