Covid-19 : l'Union des marques rend ses services gratuits

Face à l'épidémie de Covid-19 qui paralyse le pays, l'Union des marques "a décidé de mettre en oeuvre un plan d'action exceptionnel ouvert à toutes les marques (qu'elles soient adhérentes ou pas), de tous secteurs, et de toute taille (PME-ETI compris). Une hotline a été mise en place pour conseiller et épauler les marques dans les questions qu'elles se posent (juridique, média, relations publiques, etc.), tous les services (avec notamment la mise en place de formation à distance) vont également être ouverts et l'Union des marques va animer ses 12 communautés (juridique, média, expérience client, etc.) à distance pour trouver des réponses collectives", précise l'organisation dans un communiqué, qui rappelle également son rôle de conseil aux marques dans "leur environnement professionnel, économique et juridique en particulier dans tous les domaines concernant le marketing et la communication."

Maintenir ou non ses communications publicitaires, organiser le télétravail... L'Union des marques a ainsi pris des mesures afin de répondre aux sollicitations téléphoniques des marques, alors qu'un fil de dialogue sera ouvert dans les prochains jours sur son site et que des informations seront partagées via sa newsletter, qui devient pour l'occasion hebdomadaire. L'organisation rend également possible l'accès à tous ses services en ligne (guides, contrats type, ....), à toutes les entreprises ayant des marques. Lancée en 2019, la Brand Academy qui propose des formations à distance sera disponible gracieusement et verra son offre étoffée dès la semaine prochaine.

Dans son communiqué, l'Union des marques précise considérer comme une marque toute entité qui :

• d'une part, est en mesure de revendiquer, de manière la plus extensive, sa capacité à détenir, utiliser ou exploiter une marque ;
• d'autre part, recourt, au travers ou au service de sa (ses) marque(s), à des actions de marketing ou de communication, au sens large, soit pour promouvoir les produits ou les services qu'elle commercialise, les activités qu'elle exerce, ou les causes qu'elle sert, soit pour améliorer son image ou sa notoriété ;
• enfin, n'est à titre principal, ni un professionnel, ni un prestataire, ni un support de communication.