Le Cercle Marketing Direct présente son nouveau logo

Depuis plusieurs mois, le Cercle Marketing Direct travaille à relooker son identité visuelle. La nouvelle signature a été présentée jeudi 27 septembre dernier, au Salon, rue du Faubourg Saint-Honoré, à Paris, devant une cinquantaine de membres, venus par ailleurs assister à une conférence sur la géolocalisation.

« Nous voulions que ce nouveau logo représente les trois grandes valeurs du cercle en y intégrant une forte dimension digitale, explique Henri Kaufman, qui préside le CMD avec Florent Argentier. Il fallait trouver un graphisme symbolisant l'intelligence, à savoir l'expérience, la veille et la prospective, le partage... Autrement dit, le networking, le transfert et l'écoute, et enfin, la convivialité pour le plaisir, la proximité et la diversité. »

Pour réaliser sa création, l'agence Sedicom avait comme brief de relooker le logo actuel, tout en gardant son esprit, refléter l'heure digitale, traduire les valeurs de l'association. Et, bien sûr, la nouvelle identité visuelle devait aussi représenter les trois catégories des membres du cercle : les annonceurs, les prestataires et les conseils et experts du marketing direct. 

« Nous avons opté pour une signature courte et forte qui indique clairement que nous ne renions pas nos racines, tout en prenant en compte les technologies digitales », poursuit Henri Kaufman. La nouvelle base line de logo est donc désormais : Cercle Marketing Direct – convivialité, intelligence, partage – à l'heure du digital. Trois bulles de couleurs symbolisent les trois valeurs du Cercle et les trois catégories de membres qu'il regroupe.

« Leurs zones d'intersection symbolisent le partage, et les "bulles" sont légèrement inclinées vers la droite. C'est un signe graphologique fort qui signifie "aller vers les autres", la recherche de la relation, l'extraversion, et le futur », ajoute le président du CMD. Les bulles du nouveau logo ne sont pas sans rappeler les balises que Google utilise sur ses cartes géographiques. « C'est voulu, conclut Henri Kaufman. Digital oblige. »