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Comment le native advertisting va booster votre business ?
Face à l'obsolescence de la publicité display, que s'apprête à s'aggraver avec la nouvelle version de Google Chrome annoncée pour février 2018, le native ad est plus que jamais une voie de recours salutaire. Mais oblige les marketeurs à trouver des partenaires et à se constituer un réseau.
Non aux pop-up, oui au publi-rédactionnel !
La publicité native est depuis quelque temps le moyen plébiscité par les webmarketeurs en vue de réaliser des campagnes publicitaires ciblées et efficaces, au rapport qualité/prix imbattable. Mais beaucoup d'acteurs économiques n'ont pas encore pris le train en marche, au risque d'être peu à peu distancés par leurs concurrents. Pour les retardataires, l'adage est bien connu : " Mieux vaut tard que jamais ".
À l'inverse, ceux qui se sont déjà essayés au native advertising auront normalement eu l'occasion d'en apprécier toute la pertinence. Pour recueillir des fruits dignes des investissements, il est cependant important de bien choisir son débouché. Il y a influenceur et influenceur : entre une façade et une référence réelle, les résultats seront aux antipodes. Or, quelle que soit sa taille, une entreprise peut rapidement stagner ou tourner autour des mêmes petits débouchés éculés. Il lui faut alors trouver de nouveaux moyens d'étendre et de perfectionner son marketing d'influence.
En faisant le choix de recourir à des tiers pour développer sa stratégie digitale, une société peut se constituer un réseau chaque jour plus étoffé. C'est d'autant plus intéressant que les éditeurs de sites influents sont désormais très demandeurs en articles sponsorisés. Lorsque ces derniers sont rédigés avec justesse, ils constituent autant de contenus supplémentaires à publier. S'ils représentent déjà en eux-mêmes des revenus publicitaires bien définis, leur valeur ajoutée améliore encore l'image de marque du portail, fidélise les lecteurs habituels en les intéressant et en attire de nouveaux, par le jeu des mots-clefs ou le phénomène d'attirance induit par un rythme de publication régulier.
En outre, le fait de picorer d'un média web à l'autre, toujours dans son domaine d'activité, permet au marketeur de réaliser un suivi précis de ses dépenses publicitaires. Leurs retombées peuvent être assez facilement auditées. Pour optimiser chaque nouvelle campagne de native advertising, il suffit alors de bénéficier d'une expertise solide.
Peut-on gagner du temps tout en améliorant son webmarketing ?
Donnons tout de suite la réponse : c'est oui. " Time is money ", nous ont appris nos voisins anglo-saxons. Le webmarketeur le sait plus que quiconque, lui qui désire légitimement maximiser ses résultats par rapport au coût de ses campagnes de communication. Ayant généralement beaucoup de choses à gérer en même temps et ne pouvant se multiplier, il doit bien souvent faire appel à des spécialistes dans leur domaine pour assurer divers services qui lui sont indispensables. Dans certaines entreprises ne pouvant assurer elles-mêmes un service de webmarketing, le recours à une agence de marketing est une évidence.
Dans une volonté de déléguer son native advertising, la meilleure solution est sans doute d'être présent sur une interface centralisée mettant en relation influenceurs du net et annonceurs. Entreprises, indépendants et agences de webmarketing se retrouvent ainsi logiquement sur la plate-forme Getfluence.com
La transparence et la souplesse y sont de mise. Cela signifie que tout un chacun, éditeur web comme annonceur, peut agir comme bon lui semble. Les partenariats peuvent être noués en direct, sans autre intermédiaire que ce portail numérique, ou alors il est possible de souscrire à une délégation totale en profitant du professionnalisme de l'équipe de support. Cette dernière peut notamment s'appuyer sur des rédacteurs professionnels issus de la start-up DIGINOV qui porte le projet depuis 2014.
La version grand public a été propulsée en ligne fin 2017, après des prestations réussies dans les coulisses. Désormais, ce sont 2 000 médias numériques influents disponibles pour des articles sponsorisés, du placement de liens et des mentions sur les réseaux sociaux, ainsi que 500 annonceurs actifs en janvier 2018, dont la moitié hors Hexagone. Les langues française et anglaise devraient bientôt recevoir le renfort de l'allemand, de l'espagnol et de l'italien pour une mondialisation des débouchés des webmarketeurs et des influenceurs qui pourront ainsi pérenniser leurs revenus publicitaires tout en se facilitant la gestion. Voilà de quoi faire la course en tête !
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