Après sa campagne estivale, la Collective du Sucre reprend la parole avec un discours plus sociétal et une question volontairement incisive.
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"Qui voudrait d'un monde interdit au sucre ?" La réponse est évidente : personne ! La question mérite cependant d'être posée à l'heure où les injonctions sanitaires se font de plus en plus autoritaires. La nouvelle campagne de la Collective du Sucre dénonce avec humour les dangers pour la santé de comportements de consommation extrêmes (privation ou surconsommation). Le sucre demeure avant tout une source de plaisir dont il serait bien difficile de se passer. Pour la Collective, se priver de sucre, ce serait aussi se priver d'un élément de l'équilibre alimentaire. Pour illustrer l'aberration d'un monde interdit au Sucre, et d'une manière générale d'une société de contraintes et d'interdits, la nouvelle campagne met en scène des situations incongrues et absurdes visant à montrer que les délinquants de ce monde ne sont autres que des marchands de glaces, des pâtissiers ou des boulangers. On peut ainsi découvrir un camion de glaces poursuivi par une voiture de police ou des pâtissiers et boulangers enfermés dans une fourgonnette de police au seul motif d'avoir exercé leurs métiers. La campagne, composée de deux visuels, sera présente en presse quotidienne nationale ainsi que dans certains titres de la presse magazine en septembre et sera renforcée par une campagne radio sur le même thème.
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