E.Leclerc joue avec les codes du cinéma dans sa dernière campagne

Dans sa dernière campagne imaginée par BETC, produite par SOLAB et réalisée par Ivan Grbovic, l'enseigne de grande distribution E.Leclerc s'appuie une nouvelle fois sur ce qui fait, selon elle, sa principale force : ses prix.

Composée de deux spots publicitaires, la campagne publicitaire - intitulée "Il y a encore que ça étonne" - joue avec les codes du cinéma en détournant des films de genres emblématiques pour marquer les esprits. Dans "Braqueurs", le premier d'entre eux, un groupe de bandits portant des masques de pandas se prépare méthodiquement à attaquer une banque. Chacun est concentré, le plan est millimétré... jusqu'à ce qu'un des membres découvre un ticket de caisse E.Leclerc. C'est la stupeur : avec des prix aussi bas, pourquoi prendre autant de risques ? L'opération tombe donc à l'eau.

Parallèlement, dans le film "Zombies", c'est l'apocalypse ! Les téléspectateurs découvrent une horde de morts-vivants qui sèment la panique en plein milieu d'une bibliothèque. Et même mécanique que le premier spot : les zombies sont surpris par les bas prix de l'enseigne.

Une diffusion en TV et VOL depuis le 23 mars

"En détournant des genres cinématographiques populaires, E.Leclerc signe une campagne publicitaire à la fois divertissante et percutante. Plus qu'un simple message, cette prise de parole rappelle combien il est essentiel pour les Français de savoir qui est le moins cher, pouvoir comparer, et préserver sa liberté de choix", indiquent l'entreprise et l'agence dans un communiqué.

Depuis le 23 mars, ces films sont diffusés en télévision et en vidéo online (VOL), accompagnés d'un large dispositif presse. Ils seront également diffusés au cinéma à partir du 2 avril. En complément, la campagne se prolongera sur les réseaux sociaux avec des contenus exclusifs dévoilant la suite des aventures de ces anti-héros.