Comment Yves Rocher travaille à réduire son empreinte écologique
La marque de cosmétiques à base de plantes Yves Rocher, liée, dès sa création, à la nature, s'est donnée comme objectif de préserver l'environnement. Invité de l'événement One to One B. Better, son CEO, Guillaume Darrousez a partagé les ambitions concrètes d'Yves Rocher pour diminuer son impact.

Entreprise à mission depuis 2019, Yves Rocher a déjà bien entamé sa "révolution verte"... Fondée il y a 75 ans en Bretagne, avec l'objectif de fabriquer des produits naturels grâce aux plantes cultivées dans ses champs, l'enseigne de cosmétiques a, notamment, lancé le programme "Act Beautiful", une série de 10 actions concrètes visant à réduire son impact environnemental et social. Mais, l'entreprise veut aller plus loin, comme le raconte Guillaume Darrousez, CEO d'Yves Rocher depuis 9 mois, à l'occasion de l'événement One to One B.Better, organisé le 4 juin, à la veille de sa rencontre avec les actionnaires du groupe. "Nous nous imposons d'être le leader mondial en RSE sur la cosmétique", fixe-t-il comme cap. "Cela nécessite d'avoir des ambitions qui vont au-delà des réglementations existantes, qu'elles soient françaises ou étrangères", poursuit-il, répondant aux questions de Thomas Husson, vice-president et principal analyst de Forrester.
Planter 125 millions d'arbres
Aller plus loin que les bonnes pratiques récompensées par la certification "B Corp" ou par les normes et obligations de reporting extra-financier de la directive CSRD ? C'est bel et bien l'enjeu pour Yves Rocher - 6800 collaborateurs, 2300 magasins et 20 millions de clients - qui revendique l'adoption de pratiques agroécologiques sur plus de 60 hectares de champs bio et un un taux de naturalité de ses produits de soin de l'ordre de 93 %. Avec une maîtrise de tout le processus, de la culture des plantes à la

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