L'AFM doit se... marketer!
Mieux se faire connaître
Le monde de la recherche intimide toujours plus qu'il n'attire. "Pour se faire connaître plus largement, l'AFM doit faire un effort pour rapprocher les mondes académique et professionnel, poursuit Pierre Volle. En renforçant ou en nouant des partenariats avec l'Institut de recherches et d'études publicitaires (Irep), le Syntec études marketing et opinion ou l'Adetem, par exemple."
Autre chantier en cours : la refonte du site de l'association. "Nous avons un fonds documentaire très riche, constitué de plus de 3000 articles d'une dizaine de pages, affirme le nouveau président. Il nous semble donc pertinent de valoriser ces travaux par une véritable éditorialisation du travail des chercheurs."
Enfin, l'AFM publie des travaux via des appels à contribution pour la publication d'ouvrages collectifs. Cette année, c'est le marketing en milieu africain qui va préoccuper les chercheurs francophones. Mieux comprendre ce continent, souvent cité comme l'Eldorado du XXIe siècle pour les marques, est le rôle des chercheurs. Celui des directeurs marketing est de lire - et de comprendre - le résultat de leurs travaux.
(1) Voir aussi "La véritable histoire du marketing", un entretien paru dans Marketing [R]évolution, n°163 de Marketing Magazine.
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