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Quels sont les formats à privilégier sur les réseaux sociaux ?

Les réseaux sociaux ont révolutionné le web, tant en matière de ton que de format. Aujourd’hui, ce sont eux qui imposent les nouvelles normes et la vidéo marketing n’échappe pas à la règle. Comment bien utiliser la vidéo sur les réseaux sociaux ? iStock vous dit tout !

Publié par Getty Images le | Mis à jour le
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Aujourd’hui, lorsque l’on évoque le format des vidéos sur les réseaux sociaux, impossible de ne pas traiter le sujet de la verticalité. Si Snapchat a popularisé ce format, Facebook n’a pas tardé ensuite à s’engouffrer dans la brèche. Mais pourquoi proposer aux internautes ce format ? Parce que les supports ont évolué, pardi !

L’ordinateur est doté d’un écran horizontal ? Quoi de plus naturel que de produire des vidéos horizontales. Mais l’écran du smartphone, lui, est vertical et 25% des vidéos YouTube sont désormais consultées sur mobile. Les habitudes ayant changé, les marketeurs ont dû s’adapter à ce nouveau format d’autant que les consommateurs sont présents sur Snapchat et Instagram, deux applications spécifiques au mobile.

C’est ainsi que la vidéo verticale s’est imposée. Sur Facebook, la vidéo est passée du format 1:1 à 2:3, l’objectif étant d’offrir aux utilisateurs une meilleure expérience et un plus grand confort. Enfin, étant donné qu’il est désormais admis que les vidéos verticales ne sont plus regardées avec le son, il serait donc dommage de ne pas réponde aux attentes des internautes pour diffuser massivement son message.

Sur les réseaux, l’impact de certains contenus créatifs tels que le timelapse, le stop motion ou encore le cinemagraph est conséquent. Mais outre la créativité formelle, certains dispositifs et formats ont tout pour vous permettre de tirer votre épingle du jeu.
La web-série. Les marques utilisent massivement la web-série pour diffuser un message sans que cela ne ressemble à une publicité : en effet, les pubs sont souvent « skippées ». Ce format ludique permet de créer un dialogue ainsi qu’un rendez-vous régulier avec ses audiences. Au titre, des belles réussites en la matière, on pensera à la web-série Mes Colocs, de BNP Paribas, au début des années 2010.

Le live. À travers les vidéos diffusées en direct sur les réseaux (Facebook Live, Periscope…), les marquent entendent créer de l’engagement. Un format qui séduit les internautes, amenés à réagir en temps réel via un emoji ou un commentaire. Le magazine Elle a ainsi, dès mars 2016, retransmis le défilé Louis Vuitton sur Facebook Live.
Le tutoriel. Utile et indémodable, le tutoriel est utilisé par de nombreux professionnels pour valoriser leur produit, notamment dans le domaine du e-commerce. Côté lifestyle, impossible de ne pas évoquer le succès de Demotivateur Food et de ses recettes qui engrangent des millions de vues.
Le teasing. Puisque les formats courts séduisent, le teasing a toute sa place pour donner à l’internaute un avant-goût d’un contenu ou encore d’un événement.  La marque Damso a ainsi eu recours au teasing pour lancer sa nouvelle gamme, à travers la vidéo d’une machine en train de coudre ses nouveaux vêtements.
Le storytelling. Plus classique et reprenant certains codes de la publicité, le storytelling propose à l’internaute une histoire à laquelle il peut s’identifier. Composé de faits réels ou agrémenté d’un peu de romance, ce type de vidéo séduit. Si Coca-Cola est le spécialiste en la matière, le français Intermarché a récemment fait (très) fort avec sa vidéo #lamourlamour

  1. Une vidéo verticale : la vidéo verticale, comme évoqué précédemment, s’adapte aux nouveaux supports de communication.
  2. Un format court : les vidéos de 15 secondes sont partagées 37% plus souvent que les vidéos de 30 secondes à 1 minute.
  3. Un message compréhensible sans son : puisque les internautes regardent des vidéos dans les transports en commun ou les salles d’attente, le son peut être un frein.
  4. Une accroche solide : 30% des internautes arrêtent de regarder au bout de 30 secondes. Le message essentiel doit être délivré dès le départ.
  5. Humour et sentiments : la vidéo sur les réseaux sociaux doit interpeler, faire rire ou et faire appel aux émotions pour générer des partages. En misant sur l’humour, l’américain Dollar Shave Club a conquis le cœur (et le portefeuille) de 12 000 clients en 48 heures. Et on les comprend…

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