Un département MD pour l'éditeur de ZDNet.fr
CNET Networks France, éditeur notamment de ZDNet.fr, vient, en rachetant l'activité MD de Net Quartz, de lancer une activité de marketing direct à destination des professionnels du high-tech français, sous le nom de CNET e-Media.
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CNET Networks, éditeur américain de sites internet à contenu high-tech,
parmi lesquels ZDNet.fr ou Builder.fr, vient de racheter l'activité e-marketing
de l'éditeur de logiciels Net Quartz. Ce pôle possédait notamment une base de
données de quelque 40 000 contacts en opt-in, ciblant les éditeurs de logiciels
et les administrateurs de réseau informatique. Il avait également développé un
e-bus mailing. « Nous changeons de nom, pas de métier », avance Stéphane
Parcheminal, responsable du marketing et du développement de ce nouveau
département. L'équipe de CNET e-media, déjà présente du temps de Net Quartz,
propose des opérations de marketing direct prépackagées comme l'e-catalog
(e-mailing mutualisé dans lequel neuf annonceurs peuvent être présents),
l'e-mailing (annonceurs uniques) ainsi que des CD et DVD thématiques. Elle
réalise également des opérations sur mesure, de la conception au déploiement de
plans de communication adaptés à son secteur d'activité. « Nous insistons
auprès de nos annonceurs pour qu'ils relaient leurs propositions d'une vraie
offre commerciale, de façon à ce que nos contacts aient le sentiment d'une
vraie plus-value lorsqu'ils reçoivent nos e-mails. Cela peut être une
démonstration de logiciels, une documentation, un séminaire gratuit de
formation, une entrée pour un salon… », reprend Stéphane Parcheminal. CNET
e-media s'appuie sur les bases de données du groupe. Soit, pour la France,
quelque 100 000 e-mails d'abonnés aux newsletters des sites d'information,
ayant accepté de recevoir en plus des sollicitations commerciales. Pour
l'heure, CNET e-media ne s'adresse qu'au petit monde du high-tech français. «
Du temps de Net Quartz, nous travaillions déjà sur l'Europe et même les
Etats-Unis ; il n'y a pas de raison que nous ne reprenions pas », conclut
Stéphane Parcheminal.