Recherche

Typologies nouvelles

« Deux nouvelles approches correspondant à un besoin on ne peut plus d'actualité. »

Publié par le
Lecture
2 min
  • Imprimer


Ils ont noms "Média-Types". Ou "types" tout court. Ils sont sept. Ou quinze. Ils s'appellent "Publi-réactifs", "Housekeepers", "Elitistes... Ou bien "Encre et Ecran", "Ludocâblés", "Nomades et Terroirs"... Ils sont issus de l'analyse des comportements de 10 000 individus. Ou de 250 000. Agés de 15 ans et +. Ou de 18 ans et +. Leurs géniteurs (UM Connections avec TGI, Consodata et Solis Conseil) sont issus d'univers différents. A toute première vue, ils n'ont pas grand chose à voir. Et pourtant, ils sont nés d'une motivation et d'un objectif communs : offrir au "marché" des annonceurs, agences, régies, médias..., une nouvelle approche à la fois synthétique et analytique, des comportements médias et hors-médias des Français. Le tout croisé avec leurs comportements de consommation, leurs loisirs, styles de vie, etc. On ne rentrera, bien sûr, pas ici dans un débat méthodologique concernant la constitution de ces différents groupes. Mais l'on saluera avant tout cette "convergence" qui voit sortir au même moment ces deux approches, sans doute plus complémentaires que concurrentes, qui correspondent clairement à un besoin on ne peut plus d'actualité. On connaît, depuis longtemps, les recherches sur le médiaplanning, depuis un certain temps, celles sur le croisement des comportements grands médias et de consommation, celles, plus récentes, sur le médiaplanning médias-hors médias, telles que celles initiées par Thierry Vallaud avec ACNielsen. Mais ces deux typologies (voir p. 55), dont l'un des autres mérites communs est d'être à vocation barométrique annuelle, constituent encore une nouvelle avancée. A la fois, logiquement, dans la connaissance des Français, mais aussi en tant qu'instrument de réflexion supplémentaire pour les arbitrages médias-hors médias. Ou, plus exactement, pour les choix en matière de complémentarité auprès de cibles données, tant la synergie des deux vecteurs semble aujourd'hui porteuse d'efficacité.

François Rouffiac

S'abonner
au magazine
Se connecter
Retour haut de page