Nouvelle expérience pour William Perkins
Après une année sabbatique, William Perkins, fondateur de Villadalésia et cofondateur de Capital Events, fait son retour sur le devant de la scène. Entouré d'une équipe jeune et légère, il fonde l'agence WXP avec deux partenaires stratégiques, Le Public Système et le groupe Créatifs.
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«J'ai connu le bonheur de diriger une grosse société. J'ai aussi commis
l'erreur de diriger une grosse société qui ne me permettait plus de faire mon
vrai métier. Celui d'agitateur d'idées, de créateur, d'assembleur. » De retour
sur la scène événementielle, après une année de recul, William Perkins n'a rien
perdu de son désir de créer. Sa nouvelle agence, WXP pour William Perkins
Expérience, se veut ainsi un véritable observatoire de tendances et un
assembleur de talents pour « qu'un souffle créatif, novateur et réaliste anime
la communication événementielle ». Pour mener à bien cette ambition, le
fondateur de Villadalésia s'est entouré d'une équipe jeune dans une structure
volontairement légère. « En créant WXP, j'ai voulu revenir vers mon vrai métier
qui est celui de coacher les clients dans des moments importants et difficiles
de leurs développement. Dans le contexte économique et géopolitique actuel, la
communication événementielle se doit être une communication de rapprochement,
encore plus réfléchie, citoyenne et éthique », poursuit William Perkins. Qui
entend mettre son expérience au service des petites structures comme des grands
groupes, des associations et des collectivités locales. « Petits ou grands,
tous les clients ont la même ambition pour leur projet, ils veulent qu'on les
écoute. Je veux prendre et leur donner ce temps de réflexion afin de mettre en
oeuvre des idées nouvelles et libres qui ne soient pas des recettes toutes
faites », précise William Perkins. Créateur et producteur d'événements, William
Perkins s'est entouré pour réaliser son projet de deux partenaires de poids. Le
groupe Le Public Système et le groupe Créatifs possèdent ainsi une
participation à hauteur de 17 % chacun dans le capital de la société, le reste
étant détenu par son président-fondateur. Outre l'aspect capitaliste, cet
accord doit permettre à chacun des partenaires de bénéficier des savoir-faire
respectifs des uns et des autres. Notamment au niveau européen, voire mondial,
là où, pour l'heure, les agences hexagonales accusent un sérieux retard sur
leurs concurrentes nord-américaines ou asiatiques.