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Trois questions à…Marie-Laure Ciuciu,directrice de la clientèle à l'agence Cascades

Publié par La rédaction le
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A quels impératifs répondent les choix créatifs mis en œuvre pour le catalogue Body Bloom ?


Nous voulions que les modèles de lingerie présentés dans le catalogue Body Bloom soient considérés comme des accessoires de mode. C'est pourquoi nous avons réalisé ce catalogue comme un magazine féminin, avec astuces, conseils et informations. Le choix d'un format XXL répond à notre volonté d'imposer sa visibilité. Mais également de permettre une meilleure présentation des produits. Cette volonté va jusqu'à soigner l'envoi du colis : la cliente trouve son modèle entouré d'un papier de soie, par exemple.

Entre la première création et la dernière version, celle du printemps été 2003, y a-t-il eu une évolution ?


En fait, plusieurs. Le catalogue printemps-été 2003 a marqué un tournant : les pages sont maintenant imprégnées d'un léger parfum. Body Bloom accueille l'invité de la saison, aujourd'hui Laure de Lattre, qui distille ses propres trucs et astuces. Nous avons également deux nouvelles rubriques : “C'est dans l'air”, qui fait le point sur les dernières tendances de mode en début de catalogue, et “Petites culottes à volonté” où sont vendus des slips, des strings et autres brésiliens, en lots ou à l'unité.

Comment Body Bloom prospecte-t-il ses nouvelles clientes ?


D'un point de vue créatif, nous avons opté pour deux catalogues dont la seule différence, c'est la taille. Pour la prospection, Body Bloom envoie un catalogue plus petit, au format simili A 4. Et réserve le grand format à ses fidèles clientes.

La rédaction

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