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Pas besoin de long discours. Dès la découverte de la Une de ce numéro de rentrée de Marketing Direct, vous avez compris que votre magazine avait changé. Sur le plan de la forme. A l'évidence. Mais les pages qui suivent vous montreront qu'il ne s'agit pas uniquement d'un renouvellement graphique. Même s'il est pour le moins significatif. Structure du magazine, importance relative des domaines à couvrir, manière d'aborder les sujets... ce sont tous les paramètres rédactionnels qui sont l'objet d'une remise à plat. Après une analyse de l'évolution de votre métier et de vos besoins. Et, même si nous avons conservé quelques piliers, leur traitement a été profondément revu, afin d'en faciliter la lecture et surtout d'en améliorer l'opérationnalité. Cette “nouvelle formule”, selon le terme consacré, est aussi l'expression d'un certain nombre de parti pris. Dont l'un des plus manifestes concerne l'intégration du “e” - et autres moyens interactifs -, dans l'ensemble du titre. Difficile en effet aujourd'hui de l'isoler, rédactionnelle- ment parlant. Au fil des mois, le e-commerce devient un canal de vente à distance “comme les autres”, naturel. Et rares sont désormais les stratégies de communication directe qui n'intègrent pas le “e” au même titre que les médias classiques. Autre parti pris : une importance accrue accordée à la création. Certes, tout bon marketer direct connaît l'importance primordiale du ciblage et de l'offre, mais la création reste un moyen essentiel pour faire la différence et enrichir les valeurs des marques. Ajoutons à cela une volonté de mise en avant des stratégies, accompagnée parallèlement d'une plongée au cœur même des opérations... et vous aurez une première idée de ce “nouveau” Marketing Direct. Dont nous vous souhaitons une excellente lecture. En profitant de cette, bonne, occasion pour vous remercier de votre fidélité. n

François Rouffiac

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