Le meilleur et le pire
Incontournables BDDM ! Elément central d'une stratégie de relation client
digne de ce nom, elles sont incontestablement entrées dans les moeurs des
entreprises française. Après avoir suscité bien des interrogations, causé bien
des soucis et souvent coûté beaucoup d'argent. Et Internet, encore lui, vient
en renforcer l'intérêt et en multiplier les possibilités opérationnelles. Tant
mieux. Pour la connaissance approfondie des clients, pour les économies
engendrées dans le recueil d'informations, pour le temps réel, pour le ciblage
et le timing des opérations, pour la personnalisation des offres... Bref, pour
tout ce qu'elles génèrent dans le cadre d'une démarche orientée one-to-one.
Mais attention, dans ce domaine, le pire peut rapidement côtoyer le meilleur.
Multiplication des bases sans centralisation, masse de données intraitables et
inutiles, clients envahis par un relationnel que l'on ne peut arrêter, coûts
excessifs... Et, comme le dit si bien la maxime, en matière de BDDM, le mieux
est - souvent - l'ennemi du bien.