Recherche

D interactive Communication : le credo innovation

Sous l'impulsion de son nouveau directeur général, Jean-Luc Bernard, D interactive Communication affiche des ambitions renouvelées. Avec de nouvelles façons de travailler.

Publié par le
Lecture
2 min
  • Imprimer


Si, ces derniers mois, l'activité "agence" de D interactive a été quelque peu occultée par l'actualité en matière de centres d'appels et de business intelligence, elle n'en reste pas moins stratégique dans le cadre du développement du groupe. L'arrivée il y a quelques mois de Jean-Luc Bernard, ancien publicitaire et annonceur (Connexion), en tant que nouveau directeur général de D interactive Communication, témoigne d'une volonté de remettre le conseil marketing et la communication sur le devant de la scène. « Notre ambition, explique ce dernier, est double. D'une part, rester en conformité avec la culture de l'entreprise, c'est-à-dire être toujours innovant, avoir une longueur d'avance. Pour cela, nous travaillons sur une méthode de planning relationnel. D'autre part, dans un environnement où le savoir-faire en matière de fidélisation s'est quand même largement banalisé, nous entendons nous différencier par le biais de la création. Ce qui passe par un renforcement au niveau des talents et aussi une autre façon de travailler. C'est dans ce cadre qu'a d'ailleurs été créé un planning stratégique, confié à Marc Lalande, un ancien d'Eccla et de ThompsonConnect. » « A un moment où le marché est à la recherche d'un nouveau souffle, commente Sylvain Forestier, co-président de D interactive, il est important d'avoir une exigence renouvelée pour répondre aux attentes des entreprises. Car d'un côté, on trouve celles qui font du marketing direct depuis longtemps et qui se posent des questions sur la prochaine étape et, de l'autre, de nouveaux entrants qui ont du mal à trouver des solutions pertinentes. Notre volonté est d'inventer cette "prochaine étape" du marketing direct. » C'est à cette fin que D interactive Communication a mis en place un système de "remise en cause" interne, annuel, sur ses budgets, basé sur un vaste benchmark et des réflexions marketing prospectives. « Nous travaillons comme si il n'existait plus de contraintes à court terme, explique Jean-Luc Bernard. Uniquement sur du moyen et long terme. Ce qui permet de générer beaucoup plus facilement des idées afin de créer des avantages concurrentiels. »

François Rouffiac

S'abonner
au magazine
Se connecter
Retour haut de page