[Peps Lab] Lark : parlez-vous la langue de vos clients ?
Publié par Catherine Barba, fondatrice de PEPS à New-York le - mis à jour à
Lark est un coach bien-être. Une appli qui fait oublier que l'on s'adresse à une machine. Le secret ? Une conversation qui a de la "chair".
Lark est une application de coaching bien-être que j'utilise depuis mon arrivée à New-York. On m'en a parlé parce que la fondatrice de cette start-up s'appelle Julia Hu, et que promouvoir les femmes entrepreneures dans la tech est mon autre passion avec celle qui nous rapproche d'accélérer la transformation du commerce :-).
La promesse de Lark : vous aider à mieux dormir, manger, bouger. L'interface est celle d'une application de messagerie instantanée pour mobile. Ce qui est bluffant est que le service se passe sous la forme de questions / réponses, un échange plus vrai que nature, comme si vous conversiez avec un ami.
Le coach virtuel vous " parle ", par écrit, avec des expressions, des mots en langage naturel, et vous n'avez pas à formuler vous-même vos réponses, juste à choisir entre plusieurs options : " OK ", " Non merci, pas maintenant ", " Bof ", " C'est pas mal.. ".
Ce format rend l'interaction incroyablement humaine. On oublie que l'on parle à une machine. Il y a de l'humour, de l'empathie, une vraie présence.
Ce que Lark me fait réaliser : les clients veulent de la conversation. Le digital crée de la proximité à distance à condition de travailler le ton.
Et vous ?
Est-ce que tout ce que vous écrivez sur votre site, vos courriers ou vos newsletters et qui vous relie à vos clients quand ils ne sont pas face à vous dans votre espace de vente parle comme vous ? Avec vos mots, votre personnalité, votre ton ?
Catherine Barba s'est installée à NY en septembre dernier pour observer et raconter les mutations du commerce, des marques etc.
Elle y a créé PEPS : Plein d'Expériences pour se Réinventer. Lire l'article qui raconte cette démarche.
Pour emarketing.fr, elle déniche des idées qu'elle partage tous les 15 jours dans sa chronique [Peps Lab].
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