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Les outils social media choisis par Yves Rocher

Publié par Barbara Haddad le - mis à jour à

Kuider Akani, directeur e-commerce et digital global de la marque Yves Rocher, explique ses besoins technologiques pour optimiser sa stratégie social media, et détaille les outils qu'il exploite ou qu'il envisage.

"Dans un contexte où le social media est un élément clé de l'univers de la cosmétique, et où l'enjeu d'une gestion des réseaux sociaux à l'échelle internationale est très fort pour la marque Yves Rocher, un audit a été entamé il y a quelques mois pour choisir de nouveaux outils de gestion des réseaux sociaux.
La première étape a été d'identifier les besoins auxquels ces outils doivent répondre. Quatre axes ont émergé:

  • Un outil de gestion au quotidien du community management: publication, modération, monitoring, reporting, communication interne avec les autres services, etc.
  • L'écoute et la veille concurrentielle: pour être attentif à l'e-réputation de la marque, de nos produits et celle des concurrents, mais aussi être capable de détecter des crises ¬potentielles. Ceci nous permet ¬d'identifier également les tendances et insights marketing, les influenceurs et réaliser des bilans de campagnes lors de lancement produits ou d'initiatives menées par la concurrence.
  • Le crowdsourcing de contenus pour venir alimenter les différentes présences sociales.
  • L'identification des profils les plus pertinents en particulier des micro-influenceurs à fort potentiel.
  • Quels outils seront choisis? Les réflexions sont en cours pour une prise de décision avant l'été, mais pour la gestion au quotidien, deux outils émergent, Hootsuite et Facelift pour notamment car ils offrent d'une grammaire commune à tous les pays et permettent de gérer l'aspect multi-langues. Sur la partie listening, nous regardons Synthesio et Talkwalker. Pour la curation de contenus nous avons identifié des partenaires intéressants comme Olapic avec lesquels nous pourrions travailler dans le futur. Enfin, sur la partie marketplace ou plateforme de micro influence, aucun outil ne semble être en mesure de répondre à un besoin international, le choix se portera donc sûrement sur des outils locaux ou régionaux ."


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