Domoscope Unilever passe au crible les Français et leurs superstitions
Publié par Ava ESCHWEGE
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Les superstitions des Français à la loupe.
Difficile d'échapper à la déferlante de porte-bonheur et amulettes en tous genres. Accrochés sur les sacs à main et les portables ou encore enroulés autour des poignets, ils sont d'abord un phénomène de mode. Peut-être reflètent-ils aussi un secret espoir : celui de conjurer temps brouillés ou mauvaise fortune. Les Français seraient-ils superstitieux ? Pas tant que ça à les entendre : un peu d'horoscope, quelques chiffres fétiches… mais un attachement souvent vif aux dictons et adages populaires. C'est ce que révèle le Domoscope Unilever, à l'aube d'une nouvelle année… placée, on l'espère, sous un bon karma ! En outre, l'horoscope occupe la première place au palmarès des "pratiques superstitieuses" des Français : plus d'un quart de la population le suit régulièrement. Les plus assidus sont les femmes (36 %) et les 18/24 ans (33 % ). On observe aussi des pointes de consultation chez les habitants de la région Nord-Pas de Calais (39 %) et en Rhône-Alpes (37 %). A noter également : les foyers aux revenus plus faibles occupent une position dominante avec 37 % d'aficionados. Côté chiffres, le 7 arrive très largement en tête des choix : une fois sur trois, il est sélectionné comme chiffre porte-bonheur. Certains dictons ont la peau dure : 42 % des Français pensent "qu' il ne faut jamais mettre le pain à l'envers" ; près d'un Français sur trois n'ouvre jamais de parapluie dans une maison... Mais, allez savoir pourquoi, seuls 9 % d'entre eux considèrent que renverser du sel sur la table est un signe de dispute prochaine !