M6 publicité annonce Le Temps des Marques Responsables
Publié par Tristan Rocco le - mis à jour à
Le Groupe M6 multiplie les initiatives en termes de responsabilités environnementales et sociales. Dans la continuité de ces prises d'engagement, M6 Publicité dévoile la 3ème édition de son étude "Le Temps des Marques Responsables".
Dans la continuité de son engagement, un plan d'action RSE s'articulant autour de 6 feuilles de route a été mis en oeuvre : l'écoproduction, l'empreinte carbone, la pédagogie aux médias, la sobriété numérique, l'égalité des chances et l'anti-gaspillage.
Parmi les initiatives, la création d'un baromêtre sur les attentes des Français vis-à-vis des marques.
Premier enseignement : Les actions qu'attendent les Français envers leurs entreprises sont : respecter l'environnement (42 %), réduire son empreinte carbone (35 %) et offrir de bonnes conditions de travail (31 %). La formation aux bonnes pratiques à adapter pour protéger l'environnement est également sollicitée par 55 % des Français. Pour les jeunes générations, l'entreprise apparaît comme un relais aux défaillances de comportements individuels.
Concilier un discours de preuve et d'accessibilité dans les communications plus responsables
Au-delà des discours de preuve et de transparence sur les produits et services responsables, la question de la prise en compte du pouvoir d'achat et de l'accessibilité à ses offres se posent également dans les communications des marques.
Pour 57 % des Français, l'influence des célérités dans les communications de marques responsables est aussi un levier puissant pour les inciter à agir, des résultats encore plus forts auprès des jeunes générations (69 %).
Les 18-24 ans se reconnaissent-ils dans les communications des marques qui leur sont adressées ?
La pollution numérique est une notion encore très abstraite et difficile à définir pour les 15-24 ans alors qu'ils sont les plus gros consommateurs d'internet. En revanche, elle devient une préoccupation pour plus de 8 jeunes sur 10 une fois que le concept leur a bien présenté.
Toutefois, ils ne se considèrent pas comme étant responsables de cette pollution et se retournent vers les entreprises : pour eux cette pollution est principalement liée au stockage de données dans les data center, le choix et la production des matériaux utilisés par celles-ci.
Enfin si le métavers séduit les 15-25 ans (95 % d'entre eux se voient interagir avec leurs amis ou famille via les métavers), ils sont conscients des nombreux risques et dérives comme l'a révélé l'enquête Jam pour M6 Publicité : perte de contact physique, impact négatif sur la santé mentale et conséquences environnementales.