Tout savoir sur l'e-mail - Episode 1/2
Publié par Neptune Media le | Mis à jour le
« LE FAIRE OUVRIR » – épisode 1 Premier générateur de trafic sur le web, l’e-mail est l’un des supports préférés des consommateurs ET des entreprises. Bien moins cher que le mailing papier et plus instantané, les marques n’ont pas hésité à exploiter ce canal. L’e-mail pourrait cependant perdre du terrain s’il n’est pas utilisé à bon escient.
Avec la surabondance des e-mails promotionnels par les services marketing, l’internaute se voit contraint de supprimer les messages sans même les lire. En effet, la majorité des internautes déclare recevoir entre 10 et 25 e-mails par jour (source :EMA – BtoC étude du SNCD).
Mais alors, parmi le flot d’emails envoyés par les marques, comment se démarquer ? Deux critères sont essentiels pour « faire ouvrir » !
Bien le travailler est essentiel, c’est ce qui déclenchera ou non l’ouverture de l’email. Pourtant établir une vérité générale quant à sa formulation est impossible. Les études se confrontent : la mise en évidence de la promotion dans l’objet est privilégiée par certains. A contrario, d’autres enquêtes bannissent la valorisation de « cadeaux ».
Ces oppositions mènent à UNE conclusion : il doit être adapté en fonction du profil du consommateur et de son comportement d’achat.
La solution est donc :
- Connaître parfaitement sa base en l’enrichissant,
- Fragmenter la base en sous-profils,
- Adapter l’objet en fonction des sous-profils déterminés précédemment,
- Tester des objets sur un échantillon de chaque sous-profil pour trouver l’objet « idéal ».
Trouver le juste dosage dans la fréquence d’envoi est l’une des clefs du succès. Ces dernières années, l’envoi en masse a été largement privilégié. Avec le ciblage et la personnalisation, la tendance commence à s’inverser légèrement.
Mais pour susciter l’intérêt du client, ne faut-il pas aller encore plus loin ? Créer la rareté dans un monde d’abondance n’est-il pas la solution pour provoquer le désir? Des marques utilisent en effet cette stratégie marketing : création « artificielle » de la rareté en réduisant les communications et en « limitant » les stocks. Ne serait-ce pas la combinaison gagnante pour capter l’attention du consommateur ?